« Page:Revue des Deux Mondes - 1831 - tome 4.djvu/236 » : différence entre les versions

Aucun résumé des modifications
État de la page (Qualité des pages)État de la page (Qualité des pages)
-
Page non corrigée
+
Page corrigée
Contenu (par transclusion) :Contenu (par transclusion) :
Ligne 8 : Ligne 8 :
Vos pieds à chaque pas heurteront un tombeau…
Vos pieds à chaque pas heurteront un tombeau…
Vous fuirez, vous fuirez sans que rien vous arrête,
Vous fuirez, vous fuirez sans que rien vous arrête,
Car vous ne saurez plus où poser votre tète !</poem>
Car vous ne saurez plus où poser votre tête !</poem>


AGNÈS.{{Personnage|AGNÈS.}}
{{Personnage|AGNÈS.}}
<poem>Grâce, grâce !…</poem>

<poem>Cràce, grâce !…</poem>


{{Personnage|LE COMTE.}}
{{Personnage|LE COMTE.}}
<poem>Nos fils… ce qu’il en restera,
<poem>{{tab}}{{tab}}Nos fils… ce qu’il en restera,
En vous voyant passer, de ses cris vous suivra ;
En vous voyant passer, de ses cris vous suivra ;
Les mourans, pour maudire à leur heure dernière,
Les mourans, pour maudire à leur heure dernière,
Accoudés sur leurs lits, rouvriront la paupière ;
Accoudés sur leurs lits, rouvriront la paupière ;
A leur voix se joindra la voix de votre cœur,
À leur voix se joindra la voix de votre cœur,
Et toutes vous crîront : « Malheur à vous ! malheur !…</poem>
Et toutes vous criront : « Malheur à vous ! malheur !…</poem>


AGNES, à gcuoux.{{PersonnageD|AGNÈS.|c|à genoux}}
{{PersonnageD|AGNÈS.|c|à genoux}}


<poem>Monseigneur, il n’est rien qu’un repentir n’efface…
<poem>Monseigneur, il n’est rien qu’un repentir n’efface…
Ligne 30 : Ligne 29 :


{{Personnage|LE COMTE.}}
{{Personnage|LE COMTE.}}
<poem>Essayez !</poem>
<poem>{{tab}}{{tab}}{{tab}}{{tab}}Essayez !</poem>


Cela est vraiment fort beau, n’est-ce pas ?
Cela est vraiment fort beau, n’est-ce pas ?