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<poem>Eh bien ! quand sous les coups que votre main lui porte. |
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29,6 REVUE. CHRONIQUE |
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Elle sera tombée, et qu’on la croira morte ; |
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Que l’Anglais en viendra partager les débris. |
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C’est alors que partout vous poursuivront ses cris… |
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Vous fuirez ; mais dans son agonie, un royaume |
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Se débat plus long-temps que ne le fait un homme… |
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Le feu de nos cités sera votre flambeau ; |
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Vos pieds à chaque pas heurteront un tombeau… |
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Vous fuirez, vous fuirez sans que rien vous arrête, |
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Car vous ne saurez plus où poser votre tète ! </poem> |
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AGNÈS.{{Personnage|AGNÈS.}} |
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Eh bien! quand sous les coups que votre main lui porte. |
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Elle sera tombée , et qu'on la croira morte ; |
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Que l'Anglais en viendra partager les débris. |
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C'est alors que partout vous poursuivront ses cris... |
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Vous fuirez; mais dans son agonie, un royaume |
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Se débat plus long-temps que ne le fait un homme... |
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Le feu de nos cités sera votre flambeau ; |
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Vos pieds à chaque pas heurteront un tombeau... |
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Vous fuirez , vous fuirez sans que rien vous arrête , |
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Car vous ne saurez plus où poser votre tète ! |
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AGNÈS. |
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Cràce, grâce !... |
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<poem>Cràce, grâce !…</poem> |
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LB COMTE.
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{{Personnage|LE COMTE.}} |
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<poem>Nos fils… ce qu’il en restera, |
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En vous voyant passer, de ses cris vous suivra ; |
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Les mourans, pour maudire à leur heure dernière, |
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Accoudés sur leurs lits, rouvriront la paupière ; |
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A leur voix se joindra la voix de votre cœur, |
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Et toutes vous crîront : « Malheur à vous ! malheur !…</poem> |
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AGNES, à gcuoux.{{PersonnageD|AGNÈS.|c|à genoux}} |
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Nos fils... ce qu'il en restera, |
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<poem>Monseigneur, il n’est rien qu’un repentir n’efface… |
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En vous voyant passer, de ses cris vous suivra ; |
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Cela ne sera pas, monseigneur… grâce ! grâce ! |
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Les mourans , pour maudire à leur heure dernière , |
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Oh ! tout n’est pas encor si bas que vous croyez, |
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Accoudés sur leurs lits, rouvriront la paupière ; |
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Et la main qui blessa peut guérir !</poem> |
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A leur voix se joindra la voix de votre cœur, |
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Et toutes vous crîront : « Malheur à vous! malheur !... |
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AGNES , à gcuoux. |
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{{Personnage|LE COMTE.}} |
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Monseigneur, il n'est rien qu'un repentir n'efface... |
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Cela ne sera pas, monseigneur... grâce! grâce ! |
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Oh! tout n'est pas encor si bas que vous croyez, |
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Et la main qui blessa peut guérir ! |
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LE COMTE. |
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Cela est vraiment fort beau, n’est-ce pas ? |
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Nous voudrions pouvoir citer toute la scène du quatrième acte, |
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Cela est vraiment fort beau , n'est-ce pas ? |
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quand le roi se couvre d’une armure et va se battre pour venger la |
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Nous voudrions pouvoir citer toute la scène du quatrième acte , |
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quand le roi se couvre d'une armure et va se battre pour venger la |
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vieille noblesse qui vient de tomber pour lui ; mais la scène est |
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vieille noblesse qui vient de tomber pour lui ; mais la scène est |
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longue , et elle gagne beaucoup à être vue. Au quatrième acte finit |
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longue, et elle gagne beaucoup à être vue. Au quatrième acte finit |
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l'histoire : la fable du drame reparaît ; reviennent Yaquoub et Bérengère ;
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l’histoire : la fable du drame reparaît ; reviennent Yaquoub et Bérengère ; |
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Bérengère, c'est Hermione chrétienne; Yaquoub, c'est |
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Bérengère, c’est Hermione chrétienne ; Yaquoub, c’est |
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Oreste au moyen âge. Vraie ou fausse, cette jalousie transplantée |
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Oreste au moyen âge. Vraie ou fausse, cette jalousie transplantée |
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dans ce drame n'est pas sans intérêt et sans charme. Yaquoub le |
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dans ce drame n’est pas sans intérêt et sans charme. Yaquoub le |
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Sarrasin , vivant librement avec des chrétiens de cette époque , est |
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Sarrasin, vivant librement avec des chrétiens de cette époque, est |
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peut-être un mensonge historique; mais Yaquoub est beau, énergique |
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peut-être un mensonge historique ; mais Yaquoub est beau, énergique |
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et passionné , bien qu'un peu trop parleur et philosophe. |
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et passionné, bien qu’un peu trop parleur et philosophe. |