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Faute de connaître la composition de la lumière blanche, Hooke n’avait pas une idée exacte de la nature des interférences, comme Young, de son côté, se trompait sur une prétendue valeur syllabique ou dissyllabique des hiéroglyphes. |
Faute de connaître la composition de la lumière blanche, Hooke n’avait pas une idée exacte de la nature des interférences, comme Young, de son côté, se trompait sur une prétendue valeur syllabique ou dissyllabique des hiéroglyphes. |
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Young, d’un consentement unanime, est considéré comme l’auteur de la théorie des interférences ; dès lors, par une conséquence qui me paraît inévitable, Champollion |
Young, d’un consentement unanime, est considéré comme l’auteur de la théorie des interférences ; dès lors, par une conséquence qui me paraît inévitable, Champollion doit être regardé comme l’auteur de la découverte des hiéroglyphes. |
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doit être regardé comme l’auteur de la découverte des hiéroglyphes. |
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Je regrette de n’avoir pas songé plus tôt à ce rapprochement. Si, de son vivant, Young eût été placé dans l’alternative d’être le créateur de la doctrine des {{Tiret|interfé|rences}} |
Je regrette de n’avoir pas songé plus tôt à ce rapprochement. Si, de son vivant, Young eût été placé dans l’alternative d’être le créateur de la doctrine des {{Tiret|interfé|rences}} |
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