« Page:Revue des Deux Mondes - 1832 - tome 8.djvu/326 » : différence entre les versions

→‎Page non corrigée : Page créée avec « {{tiret|s’a|baissant}} dans la main gauche, tandis que la droite ramenait la corde jusqu’à l’épaule du jeune homme, et il eût été bien difficile de juger, quell... »
 
mAucun résumé des modifications
Contenu (par transclusion) :Contenu (par transclusion) :
Ligne 17 : Ligne 17 :


Au cri du dauphin, Tanneguy jeta de nouveau les yeux
Au cri du dauphin, Tanneguy jeta de nouveau les yeux
sur la rue Saint-Antoine ; la tète de l’Armagnac était à dix
sur la rue Saint-Antoine ; la tête de l’Armagnac était à dix
pas de son corps, et maître Cappeluche faisait tranquillement
pas de son corps, et maître Cappeluche faisait tranquillement
égoutter sa longue épée, en sifflant l’air de la chanson si
égoutter sa longue épée, en sifflant l’air de la chanson si
connue :
connue :<br /><br />
{{alinéa|{{T|« Duc de Bourgogne,<br />

{{caché|« }}Dieu te tienne en joie. »|85}}|5|0}}
<poem>
<br />
::::« Duc de Bourgogne,
::::« Dieu te tienne en joie. »
</poem>

— Regarde, Tanneguy, regarde, disait le dauphin en pleurant de rage ; sans toi, sans toi !… mais regarde donc
— Regarde, Tanneguy, regarde, disait le dauphin en pleurant de rage ; sans toi, sans toi !… mais regarde donc