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⚫ | — Il est timbré, pensa-t-il, mais je vais réveiller le vieux vicomte. — Et il déposait déjà sur le coffre à l’avoine la lanterne qu’il tenait à la main, quand Néel, qui avait vu l’intention et le mouvement à la lueur de cette lanterne : — Reste là, lui dit-il en le saisissant par le collet, — pas un mot ! pas un geste ! Tu sais ce que je veux et si je le veux ! — ajouta-t-il avec l’accent qu’aurait le bronze, si le bronze parlait. Tu ne me quitteras que quand je serai en voiture et hors de la cour ! |
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« Il est timbré, pensa-t-il, mais je vais réveiller le vieux vicomte. » |
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Et il déposait déjà sur le coffre à l’avoine la lanterne qu’il tenait à la main, quand Néel, qui avait vu l’intention et le mouvement à la lueur de cette lanterne : |
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Néel fut touché de ce dévouement. |
Néel fut touché de ce dévouement. |
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— Tu es un brave homme, mon vieux Jean Bellet, dit-il au fidèle serviteur de sa maison. Mais, si tu viens avec moi, qui soignera les chevaux ? Ils ne connaissent que toi et moi. Il faut que tu restes. D’ailleurs, il n’y a pas de danger, ajouta-t-il avec le mensonge d’une confiance superbe, — car il allait en courir un terrible et il s’élançait au-devant : — n’est-ce pas toi qui, dès que ma main a su tenir des guides, m’as appris à conduire ? Tu sais si je peux mener ! |