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Un blasphème passa sur ses lèvres. |
Un blasphème passa sur ses lèvres. — Elle est plus mal, dit-il d’une voix altérée. Elle aura ce soir une de ses crises ! Je vois des lumières qui vont et qui viennent à travers les appartements. Prenons nos jambes à notre cou, monsieur Néel. Il est temps que nous arrivions ! |
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Et l’un et l’autre ils s’élancèrent par la rampe qui descendait à l’étang et au Quesnay, comme s’ils avaient couru au feu. |
Et l’un et l’autre ils s’élancèrent par la rampe qui descendait à l’étang et au Quesnay, comme s’ils avaient couru au feu. |
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Ils arrivèrent par la barrière, qui n’était pas fermée ; car les Herpin ne la fermaient qu’après le souper, quand ils regagnaient les écuries où leurs garçons couchaient avec les chevaux. Ils montèrent rapidement le perron et cognèrent à la porte vitrée, mais on ne s’empressait pas de leur ouvrir. |
Ils arrivèrent par la barrière, qui n’était pas fermée ; car les Herpin ne la fermaient qu’après le souper, quand ils regagnaient les écuries où leurs garçons couchaient avec les chevaux. Ils montèrent rapidement le perron et cognèrent à la porte vitrée, mais on ne s’empressait pas de leur ouvrir. |
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— Ils n’ouvriront pas, monsieur ! dit Néel, effrayé de ces symptômes. |
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— Eh bien ! ouvrons, nous ! |
— Eh bien ! ouvrons, nous ! répondit Sombreval, et du genou il fit sauter en éclats les verrous de la porte, qu’il enfonça aussi aisément qu’un enfant, qui y tombe, enfonce les plombs vitrés d’une cloche à melons. |
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Et ils entrèrent — mais, sans la lune qui passait par les fenêtres ouvertes du côté du jardin, tout aurait été noir et vide dans cette |
Et ils entrèrent, — mais, sans la lune qui passait par les fenêtres ouvertes du côté du jardin, tout aurait été noir et vide dans cette |