« Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle/Église » : différence entre les versions

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==== ÉCOLE BOURGUIGNONNE ====
<span id="Montreal.Yonne"></span>Elle naît chez les clunisiens. Dès le XI<sup>e</sup> siècle, elle
renonce aux charpentes sur les nefs; elle fait, la première, des efforts
persistants pour allier la voûte au plan de la basilique antique. Nous en
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d’abord; puis les églises de Paray-le-Monial, de Semur-en-Brionnais, de
Châteauneuf, de Saulieu, de Beaune, de Saint-Philibert de Dijon, de
Montréale[[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes M#Montreal.Yonne|Montréal ]] (Yonne), à la fin du XII<sup>e</sup> siècle.
 
L’école bourguignonne abandonne difficilement les traditions romanes,
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ég. abb. de Sainte-Madeleine à Vézelay<span id="note281"></span>[[#footnote281|<sup>281</sup>]], ég. de Saint-Père sous
Vézelay<span id="note282"></span>[[#footnote282|<sup>282</sup>]],
ég. de [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes C#Civry|Civry]], ég. de [[Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle - Index communes M#Montreal.Yonne|Montréal ]]<span id="note283"></span>[[#footnote283|<sup>283</sup>]]], ég. de Pontaubert<span id="note284"></span>[[#footnote284|<sup>284</sup>]].<br>
<i>Arrond. de Joigny.</i> Ég. de Saint-Julien-du-Sault<span id="note285"></span>[[#footnote285|<sup>285</sup>]], ég. de
Villeneuve-le-Roi<span id="note286"></span>[[#footnote286|<sup>286</sup>]], ég. de Saint-Fargeau.<br>