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de consolation, et il s’empressa de faire part à ses |
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proches de ceux qu’il avait trouvés. Il les exposa |
proches de ceux qu’il avait trouvés. Il les exposa |
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dans une lettre qu’il écrivit à M. et Mme Périer le |
dans une lettre qu’il écrivit à M. et Mme Périer le |
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17 octobre 1651. |
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Le développement de sa pensée présente une |
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Selon les païens, la mort est une chose naturelle. |
Selon les païens, la mort est une chose naturelle. |
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Si cela était, elle serait nécessairement un mal. Car |
Si cela était, elle serait nécessairement un mal. Car |
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elle serait, dans la réalité, ce qu’elle est dans l’apparence la corruption et l’anéantissement; et elle ne |
elle serait, dans la réalité, ce qu’elle est dans l’apparence la corruption et l’anéantissement ; et elle ne |
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laisserait nulle place à l’espérance. Mais, suivant la |
laisserait nulle place à l’espérance. Mais, suivant la |
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vérité que le Saint-Esprit nous a apprise, la mort |
vérité que le Saint-Esprit nous a apprise, la mort |
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