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« Page:Diderot - Œuvres complètes, éd. Assézat, XVIII.djvu/334 » : différence entre les versions

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<section begin=L28 />et que je lui enverrais, mot à mot, ta réponse. Réponds-moi donc. Dans un autre moment, je reprendrai vos lettres et nous causerons plus au long. Recevez tous les deux la tendre amitié du père, de la mère et de l’enfant.
<section begin=L28/>et que je lui enverrais, mot à mot, ta réponse. Réponds-moi donc. Dans un autre moment, je reprendrai vos lettres et nous causerons plus au long. Recevez tous les deux la tendre amitié du père, de la mère et de l’enfant.


::<small>À Paris, ce 29 décembre 1770</small>.<section end=L28 />
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Ces diables de gens qui s’en vont à Pétersbourg ont tant d’affaires dans ce pays qu’on ne les aperçoit jamais qu’un moment avant leur départ. Je me hâte donc de vous griffonner quelques lignes que M. Weynacht vous remettra de la main à la main, et quand ? il n’en sait rien, ni moi non plus.
Ces diables de gens qui s’en vont à Pétersbourg ont tant d’affaires dans ce pays qu’on ne les aperçoit jamais qu’un moment avant leur départ. Je me hâte donc de vous griffonner quelques lignes que M. Weynacht vous remettra de la main à la main, et quand ? il n’en sait rien, ni moi non plus.
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présent à notre souvenir que si nous en étions au moment douloureux de notre séparation.
présent à notre souvenir que si nous en étions au moment douloureux de notre séparation.


J’ai vu, mon ami, trois brochures de vous<ref>Les ''Lunettes'' ne sont pas de Falconet ; du moins elles ne figurent pas dans ses oeuvres. Auguis attribue l’''Antidote ou Examen du mauvais livre superbement imprimé… par l’abbé Chappe'', à la collaboration de Falconet et de la princesse Dashkof, qui n’en parle point dans ses ''Mémoires''.</ref>, une lettre à moi, une facétie intitulée ''les Lunettes'', et un ''Antidote aux menteries de l’abbé Chappe''. M. Weynacht ne me laisse pas le temps de vous parler à mon aise de ces productions de votre loisir. {{tiret|Seu|lement}}<section end=L29 />
J’ai vu, mon ami, trois brochures de vous<ref>Les ''Lunettes'' ne sont pas de Falconet ; du moins elles ne figurent pas dans ses oeuvres. Auguis attribue l’''Antidote ou Examen du mauvais livre superbement imprimé… par l’abbé Chappe'', à la collaboration de Falconet et de la princesse Dashkof, qui n’en parle point dans ses ''Mémoires''.</ref>, une lettre à moi, une facétie intitulée ''les Lunettes'', et un ''Antidote aux menteries de l’abbé Chappe''. M. Weynacht ne me laisse pas le temps de vous parler à mon aise de ces productions de votre loisir. {{tiret|Seu|lement}}<section end=L29/>
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