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Mes frères, voulez-vous donc étouffer dans l’exhalaison de leurs gueules et de leurs appétits ! Cassez plutôt les vitres et sautez dehors ! |
Mes frères, voulez-vous donc étouffer dans l’exhalaison |
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de leurs gueules et de leurs appétits ! Cassez plutôt les |
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vitres et sautez dehors ! |
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Évitez donc la mauvaise odeur! Éloignez-vous |
Évitez donc la mauvaise odeur ! Éloignez-vous de |
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l’idolâtrie des superflus. |
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Évitez donc la mauvaise odeur ! Éloignez-vous de la fumée de ces sacrifices humains! |
Évitez donc la mauvaise odeur ! Éloignez-vous de la |
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fumée de ces sacrifices humains ! |
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Maintenant encore le monde est libre pour les grandes |
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Maintenant encore les grandes âmes trouveront devant elles l’existence libre. Il reste bien des endroits pour ceux qui sont solitaires ou à deux, des endroits où souffle l’odeur des mers silencieuses. |
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âmes. Pour ceux qui sont solitaires ou à deux, bien des |
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places sont encore libres, des places où souffle l’odeur des |
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mers silencieuses. |
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Une vie libre reste ouverte aux grandes âmes. |
Une vie libre reste ouverte aux grandes âmes. |
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Vraiment, qui possède peu, est d’autant moins possédé : |
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bénie soit la petite pauvreté ! |
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Là où finit l’État, |
Là-bas, où finit l’État, commence seulement l’homme |
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qui n’est pas superflu : là commence le chant deceux |
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qui sont nécessaires, la mélodie unique et indispensable. |
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Là où finit l’État, - regardez donc, mes frères! Ne voyez-vous pas l’arc-en-ciel et le pont du Surhumain ? |
Là-bas où ''finit'' l’État, - regardez donc, mes frères ! |
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Ne voyez-vous pas l’arc-en-ciel et le pont du Surhumain ? — |
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Ainsi parlait Zarathoustra. |
Ainsi parlait Zarathoustra. |