« Page:Linas - Les origines de l’orfévrerie cloisonnée, I.djvu/11 » : différence entre les versions
Aucun résumé des modifications |
corr. in-8° |
||
Contenu (par transclusion) : | Contenu (par transclusion) : | ||
Ligne 12 : | Ligne 12 : | ||
Les métaux ne sont pas toujours l’unique excipient de ce genre de marqueterie ; l’ivoire, le bois, la terre émaillée en constituent quelquefois la cuve ou le réseau : j’aurai à signaler divers cas d’une variété d’incrustations dont on ne s’est peut-être pas suffisamment occupé jusqu’ici. |
Les métaux ne sont pas toujours l’unique excipient de ce genre de marqueterie ; l’ivoire, le bois, la terre émaillée en constituent quelquefois la cuve ou le réseau : j’aurai à signaler divers cas d’une variété d’incrustations dont on ne s’est peut-être pas suffisamment occupé jusqu’ici. |
||
Dans un mémoire publié en 1864<ref>Revue de l’Art chrétien, t. VIII, p. 114, 195, 225, 303. - Orfèvrerie mérovingienne, in-8 |
Dans un mémoire publié en 1864<ref>Revue de l’Art chrétien, t. VIII, p. 114, 195, 225, 303. - ''Orfèvrerie mérovingienne'', in-8°, 9 planches. Paris, Didron, 1864.</ref>, et qui obtint une mention |