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Quand mon délire m’entrainc. |
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Je me peins lu X’olupté |
Je me peins lu X’olupté |
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Assise, la bouche pleine. |
Assise, la bouche pleine. |
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Sur les débris d’un pùté. |
Sur les débris d’un pùté. |
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A quatre heures, |
A quatre heures, lorsque j’entre |
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Chez le traiteur du quartier, |
Chez le traiteur du quartier, |
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Je veux toujours que mon ventre |
Je veux toujours que mon ventre |
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Qu’à moins d’élargir la porte |
Qu’à moins d’élargir la porte |
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Je ne pourrai plus sortir. |
Je ne pourrai plus sortir. |
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Un cuisinier, quand je dine, |
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Me semble un être divin |
Me semble un être divin |
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Qui, du fond de sa cuisine, |
Qui, du fond de sa cuisine, |
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Car sa cuisine est un temple |
Car sa cuisine est un temple |
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Dont les fourneaux sont l’autel ! |
Dont les fourneaux sont l’autel ! |
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Mais sans plus de commentaires, |
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Amis, ne savons-nous pas |
Amis, ne savons-nous pas |
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Que les noces de nos pères |
Que les noces de nos pères |
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Finirent par un repas. |
Finirent par un repas. |
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Qu’on vit une nuit profonde |
Qu’on vit une nuit profonde |
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Bientôt les envelopper, |
Bientôt les envelopper, |
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Et que nous vînmes au monde, |
Et que nous vînmes au monde, |
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A la suite du souper? |
A la suite du souper? |
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Je veux que la mort me frappe |
Je veux que la mort me frappe |
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Au milieu d’un |
Au milieu d’un grand repas. |
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