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mes pensées et mes vœux se tournent de nouveau vers la France |
mes pensées et mes vœux se tournent de nouveau vers la France — et s’inclinent humblement devant votre gracieux congé. |
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Avez-vous la permission de votre père ? |
— Avez-vous la permission de votre père ? que dit Polonius ? |
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Il a fini, monseigneur, par me l’arracher à force d’importunités ; mais, enfin, j’ai à regret mis à son désir le sceau de mon consentement. Je vous supplie de le laisser partir. |
— Il a fini, monseigneur, par me l’arracher — à force d’importunités ; mais, enfin, — j’ai à regret mis à son désir le sceau de mon consentement. — Je vous supplie de le laisser partir. |
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Pars quand tu voudras, Laertes le temps t’appartient, emploie-le au gré de tes plus chers caprices. Eh bien ! Hamlet, mon cousin et mon fils… |
— Pars quand tu voudras, Laertes : le temps t’appartient, emploie-le au gré de tes plus chers caprices. — Eh bien ! Hamlet, mon cousin et mon fils… |
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Un peu plus que cousin, et un peu moins que fils. |
— Un peu plus que cousin, et un peu moins que fils. |
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Pourquoi ces nuages qui |
— Pourquoi ces nuages qui pèsent encore sur votre front ? |
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Il n’en est rien, seigneur ; je suis trop près du soleil. |
— Il n’en est rien, seigneur ; je suis trop près du soleil. |
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Bon Hamlet, dépouille ces couleurs nocturnes |
— Bon Hamlet, dépouille ces couleurs nocturnes — et jette au roi de Danemark un regard ami. — Ne t’acharne pas, les paupières ainsi baissées, — à chercher ton noble père dans la poussière. — Tu le sais, c’est la règle commune : tout ce qui vit doit mourir, — emporté par la nature dans l’éternité. |
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Oui, madame, c’est la règle commune. |
— Oui, madame, c’est la règle commune. |
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