« Page:Shakespeare - Œuvres complètes, traduction Hugo, Pagnerre, 1865, tome 1.djvu/161 » : différence entre les versions

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Nous sommés enchantés de voir votre grâce aussi gaie. — Mon bon seigneur, laissez-nous vous conjurer encore — de nous faire connaître la cause de votre trouble.
Nous sommés enchantés de voir votre grâce aussi gaie. — Mon bon seigneur, laissez-nous vous conjurer encore — de nous faire connaître la cause de votre trouble.


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Monseigneur, votre mère vous supplie de venir lui parler.
Monseigneur, votre mère vous supplie de venir lui parler.
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De grâce, voulez-vous jouer de cette flûte ?
De grâce, voulez-vous jouer de cette flûte ?


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Hélas ! monseigneur, — je ne sais pas.
Hélas ! monseigneur, — je ne sais pas.
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Je vous en prie, voulez-vous ?
Je vous en prie, voulez-vous ?


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Je n’ai pas ce talent, monseigneur.
Je n’ai pas ce talent, monseigneur.
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Eh bien ! voyez, ce n’est rien. — Il n’y a qu’à boucher ces trous, — et avec un léger souffle de vos lèvres, — cela fera une musique très-délicate.
Eh bien ! voyez, ce n’est rien. — Il n’y a qu’à boucher ces trous, — et avec un léger souffle de vos lèvres, — cela fera une musique très-délicate.


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Mais nous ne savons pas le faire, monseigneur.
Mais nous ne savons pas le faire, monseigneur.