« César Cascabel/Deuxième partie/Chapitre XIII » : différence entre les versions

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Aussi Clou prit-il la lettre, en faisant comprendre par un geste qu'il se chargeait de la remettre à son patron. Puis, il congédia le moujik avec nombre de salutations, mais sans avoir pu savoir d'où il venait et qui l'avait envoyé.<br>
Un quart d'heure après, au moment où Clou se disposait à retourner à la ''Belle-Roulotte'', M. Cascabel parut à l'entrée de la piste, plus énervé, plus anxieux que jamais.<br>
:« Monsieur patron ? dit Clou.<br>
:— Eh bien ?...<br>
:— J'ai reçu une lettre.<br>
:— Une lettre ?...<br>
:— Oui, une lettre qui vient d'être apportée...<br>
:— Pour moi ?<br>
:— Pour vous.<br>
:— Par qui ?...<br>
:— Par un moujik.<br>
:— Un moujik ?...<br>
:— A moins que ce ne soit pas un moujik ! »<br>
 
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