« Les Frères Karamazov (trad. Henri Mongault)/II/07 » : différence entre les versions

Contenu supprimé Contenu ajouté
m t3
Ligne 3 :
{{ChapitreNav|[[Auteur:Fédor Dostoïevski|Dostoïevski]], traduit par [[Auteur:Henri Mongault|H. Mongault]]|[[Les Frères Karamazov (trad. Henri Mongault)|Les Frères Karamazov]], 1923|Livre II : Une réunion déplacée|[[../06|Chap. VI]]| |[[../08|Chap. VIII]]}}
 
{{t2mpt3|Un séminariste ambitieux|VII}}
 
Aliocha conduisit le starets dans sa chambre à coucher et le fit asseoir sur le lit. C’était une très petite pièce, avec le mobilier indispensable ; le lit de fer étroit n’avait qu’une couche de feutre en guise de matelas. Dans un coin, sur un lutrin, près des icônes, reposaient la croix et l’Évangile. Le starets se laissa choir à bout de forces ; ses yeux brillaient, il haletait. Une fois assis, il regarda fixement Aliocha, comme s’il méditait quelque chose.