Camelinat
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:::Paul Lorain : c'était un proche de Guizot, donc pas un marrant et encore moins un révolutionnaire ! Mais le constat reste intéressant (et sur les langues régionales, dans le contexte d'un État centralisé qui met en place une politique d'éducation, à mon avis, c'est inévitable ; d'ailleurs, les principaux défenseurs des LR sont les prêtres, à l'époque...)
:::Amicalement, --[[Utilisateur:Acélan|Acélan]] ([[Discussion utilisateur:Acélan|d]]) 13 janvier 2012 à 15:20 (UTC)
::::Il est vrai que la question des LR se pose toujours, et que leur défense peut masquer diverses arrière-pensées. À l’époque, le morcellement des cultures locales pouvaient permettre une main-mise plus facile pour une organisation nationale (internationale même), comme l’Église catholique. Quant au constat, d’accord avec toi, il est plus qu’intéressant et les motivations des uns et des autres (possédants et prolétaires) pour freiner l’éducation est une véritable leçon de choses sur la lutte des classes (sans jeu de mot) ! De plus, ce rapport a un grand intérêt, parce qu’il montre en creux les difficultés que des fédéralistes/communalistes ont à surmonter pour, d’une part donner plus d’importance au local, et de l’autre empêcher les dérives inégalitaires entre régions ou communes. Bref, Lorain, au delà de 1833, reste toujours d’actualité !
::::Ok, je supprime les balises inutiles. --[[Utilisateur:Camelinat|Camelinat]] ([[Discussion utilisateur:Camelinat|d]]) 13 janvier 2012 à 15:37 (UTC)
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