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{{tiret2|pé|chés}}, à représenter la divinité, maintient sans cesse en éveil, dans l’âme, et même dans le corps, le sentiment d’une mission surhumaine; là règne ce mépris noble de la fragilité du corps, du bien-être et du bonheur, propre aux soldats de naissance; on met sa fierté dans l’obéissance, ce qui est le signe distinctif de tous les aristocrates; on trouve son idéalisme et son excuse dans l’énorme impossibilité de sa tâche. La puissante beauté et la finesse des princes de l’Église ont toujours démontré chez le peuple la vérité de l’Église; une brutalisation momentanée du clergé (comme du temps de Luther) amène toujours la croyance au contraire. — Et ce résultat de la beauté et de la finesse humaines, dans l’harmonie de la figure, de l’esprit et de la tâche, serait anéanti en même temps que finissent les religions ? Et il n’y aurait pas moyen d’atteindre quelque chose de plus haut, ni même d’y songer ? |
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en éveil, dans l’âme, et ''même dans le corps'', le |
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mépris noble de la fragilité du corps, du |
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bien-être et du bonheur,tel qu’il appartient aux |
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soldats de naissance ; on a sa fierté dans |
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l’obéissance, ce qui est le signe distinctif de tous les |
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aristocrates ; on a son idéalisme et son excuse dans |
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l’énorme impossibilité de sa tâche. La puissante |
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beauté et la finesse des princes de l’Église ont |
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toujours démontré chez le peuple la vérité de l’Église ; |
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une brutalisation momentanée du clergé (comme |
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du temps de Luther) amène toujours la croyance |
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au contraire. — Et ''ce'' résultat de la beauté et de |
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la finesse humaines, dans l’harmonie de l’extérieur, |
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temps que finissent les religions ? Et il n’y aurait |
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pas moyen d’atteindre quelque chose de plus haut, |
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ni même d’y songer ? |
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solides, loyaux, d’une sensiblité profonde qui sont |
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la question de savoir si le christianisme est |
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nécessaire. En attendant, ils demeurent attachés |
nécessaire. En attendant, ils demeurent attachés |
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à leur glebe et |
à leur glebe et de là ils insultent le monde qui se |
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