« Ainsi parlait Zarathoustra/Quatrième partie/La sangsue » : différence entre les versions

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Et Zarathoustra pensif continua sa route, descendant toujours plus bas, traversant des forêts et passant devant des marécages ; mais, comme il arrive à tous ceux qui réfléchissent à des choses difficiles, il butta par mégarde sur un homme. Et voici, d'un seul coup, un cri de douleur, deux jurons et vingt injures graves jaillirent à sa face : en sorte que, dans sa frayeur, il leva sa canne pour frapper encore celui qu'il venait de heurter. Pourtant, au même instant, il reprit sa raison ; et son coeurcœur se mit à rire de la folie qu'il venait de faire.
 
"Pardonne-moi, dit-il à l'homme, sur lequel il avait butté, et qui venait de se lever avec colère, pour s"asseoir aussitôt, pardonne-moi et écoute avant tout une parabole.