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Maintenant, les vagues montent et montent autour de ta montagne, ô Zarathoustra. Et malgré l’élévation de ta hauteur, il faut que beaucoup montent auprès de toi ; ta barque ne doit plus rester longtemps à l’abri. |
Maintenant, les vagues montent et montent autour de ta montagne, ô Zarathoustra. Et malgré l’élévation de ta hauteur, il faut que beaucoup montent auprès de toi ; ta barque ne doit plus rester longtemps à l’abri. |
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Et que nous nous soyons venus vers ta caserne, nous autres hommes qui désespérions et qui déjà ne |
Et que nous nous soyons venus vers ta {{Corr|caserne|caverne}}, nous autres hommes qui désespérions et qui déjà ne désespérons plus : ce n’est qu’un signe et un présage qu’il y en a de meilleurs que nous en route, — |
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— car il est lui-même en route vers toi, le dernier reste de Dieu parmi les hommes ; c’est-à-dire : tous les hommes du grand désir, du grand dégoût, de la grande satiété, — |
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— tous ceux qui ne veulent vivre sans qu’ils puissent de nouveau apprendre à ''espérer'' — apprendre de toi, ô Zarathoustra, le ''grand'' espoir ! » |
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