« Page:Nietzsche - Ainsi parlait Zarathoustra (trad. Albert, 1903).djvu/321 » : différence entre les versions

ThomasBot (discussion | contributions)
m Marc: split
Dhfozzano (discussion | contributions)
État de la page (Qualité des pages)État de la page (Qualité des pages)
-
Page non corrigée
+
Page corrigée
Contenu (par transclusion) :Contenu (par transclusion) :
Ligne 3 : Ligne 3 :
— « Cesse de parler, lui répondirent derechef ses animaux ; toi qui es convalescent, apprête-toi plutôt une lyre, une lyre nouvelle !
— « Cesse de parler, lui répondirent derechef ses animaux ; toi qui es convalescent, apprête-toi plutôt une lyre, une lyre nouvelle !


Car vois donc, Zarathoustra ! Pour tes chants nouveaux, il faut une lyre nouvelle.
Car vois donc, Zarathoustra ! Pour tes chants nouveaux, il faut une lyre {{Corr|nouveile|nouvelle}}.


Chante, ô Zarathoustra et que tes chants retentissent comme une tempête, guéris ton âme avec des chants nouveaux : afin que tu puisses porter ta grande destinée qui ne fut encore la destinée de personne !
Chante, ô Zarathoustra et que tes chants retentissent comme une tempête, guéris ton âme avec des chants nouveaux : afin que tu puisses porter ta grande destinée qui ne fut encore la destinée de personne !
Ligne 13 : Ligne 13 :
Vois, nous savons ce que tu enseignes : que toutes les choses reviennent éternellement et que nous revenons nous-mêmes avec elles, que nous avons déjà été là une infinité de fois et que toutes choses ont été avec nous.
Vois, nous savons ce que tu enseignes : que toutes les choses reviennent éternellement et que nous revenons nous-mêmes avec elles, que nous avons déjà été là une infinité de fois et que toutes choses ont été avec nous.


Tu enseignes qu’il y a une grande année du devenir, un monstre de grande année : il faut que, semblable à un sablier, elle se retourne sans cesse à nouveau, pour s’écouler et se vider à nouveau : — en sorte que toutes ces années se ressemblent
Tu enseignes qu’il y a une grande année du devenir, un monstre de grande année : il faut que, semblable à un sablier, elle se retourne sans cesse à nouveau, pour s’écouler et se vider à nouveau :
— en sorte que toutes ces années se {{Tiret|ressem|blent}}