« Poèmes philosophiques/La Flûte » : différence entre les versions

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==__MATCH__:[[Page:Revue des Deux Mondes - 1843 - tome 1.djvu/1073]]==
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Prix douteux d’un lit dur en quelque étroite rue
Et d’un amer souper dans un logis malsain.
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==[[Page:Revue des Deux Mondes - 1843 - tome 1.djvu/1074]]==
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Cependant il tirait lentement de son sein,
Comme se préparait au martyre un apôtre,
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Père d’un panthéisme orné de plusieurs choses,
De quelques âges d’or et des métempsychoses
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==[[Page:Revue des Deux Mondes - 1843 - tome 1.djvu/1075]]==
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De Bouddha, qu’en son cœur il croyait inventer ;
Il l’appliquait à tout, espérant importer
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Fit ce que fait tout homme invalide et sans pain.
" Je gémis, disait-il, d’avoir une pauvre âme
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==[[Page:Revue des Deux Mondes - 1843 - tome 1.djvu/1076]]==
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Faible autant que serait l’âme de quelque femme,
Qui ne peut accomplir ce qu’elle a commencé
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De la glace d’un lac plonge dans la fournaise
Et d’un volcan profond va tourmenter la braise.
Ce Sisyphe éternel est beau, seul, tout meurtri,
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==[[Page:Revue des Deux Mondes - 1843 - tome 1.djvu/1077]]==
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Brûlé, précipité, sans jeter un seul cri,
Et n’avouant jamais qu’il saigne et qu’il succombe
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Comme ses sœurs du ciel elle est puissante et reine,
Se mesure au vrai poids, connaît visiblement
Que son souffle était faux par le faux instrument,
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==[[Page:Revue des Deux Mondes - 1843 - tome 1.djvu/1078]]==
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N’était ni glorieux ni vil, n’étant pas libre ;
Que le corps seulement empêchait l’équilibre ;