« Le Bourgeois gentilhomme/Édition Louandre, 1910 » : différence entre les versions
Contenu supprimé Contenu ajouté
erreur de copier–coller |
Acte I relu et corrigé |
||
Ligne 44 :
'''Deux Laquais'''.
'''Plusieurs Musiciens, Musiciennes, Joueurs d’instruments,
|}
Ligne 59 :
{{scène|I}}
<center>''Maître de musique, Maître à danser, Trois Musiciens, Deux Violons, Quatres
'''Maître de musique''', ''parlant à ses musiciens.''<br>
Ligne 74 :
'''Maître de musique'''<br>
'''Maître à danser'''<br>
Ligne 133 :
'''Monsieur Jourdain'''<br>
Eh
'''Maître à danser'''<br>
Ligne 220 :
'''Monsieur Jourdain'''<br>
Donnez-moi ma robe pour mieux
'''Musicien''', ''chantant'' :<br>
Ligne 229 :
'''Monsieur Jourdain'''<br>
Cette chanson me semble un peu lugubre, elle endort, et
'''Maître de musique'''<br>
Ligne 235 :
'''Monsieur Jourdain'''<br>
On m’en apprit un tout à fait joli, il y a quelque temps.
'''Maître à danser'''<br>
Ligne 379 :
'''Premier musicien'''<br>
''Il n’est rien de si doux que les tendres ardeurs''<br>
''Qui font vivre deux
''Dans une même envie.''<br>
''On ne peut être heureux sans amoureux désirs :''<br>
Ligne 388 :
''Il serait doux d’entrer sous l’amoureuse loi,''<br>
''Si l’on trouvait en amour de la foi ;''<br>
''Mais, hélas !
''On ne voit point de bergère fidèle,''<br>
''Et ce sexe inconstant, trop indigne du jour,''<br>
Ligne 441 :
''Laissons-nous enflammer :''<br>
''Ah ! qu’il est doux d’aimer,''<br>
''Quand deux
<br>
</center>
|