« Page:Aristophane, trad. Talbot, 1897, tome 1.djvu/388 » : différence entre les versions
m a déplacé Page:Aristophane I, 388.jpg vers Page:Aristophane, trad. Talbot, 1897, tome 1.djvu/388 : Remplacement du djvu |
m Phe: split |
||
État de la page (Qualité des pages) | État de la page (Qualité des pages) | ||
- | + | Page non corrigée | |
Contenu (par transclusion) : | Contenu (par transclusion) : | ||
Ligne 1 : | Ligne 1 : | ||
{{Personnage|TRYGÆOS|c}}. Qui donc ? |
|||
LA P AIX . 377 |
|||
ravomos. |
|||
⚫ | |||
Qui donc? |
|||
L’Esc1.AvE. |
|||
{{Personnage|TRYGÆOS|c}}. Non, mon cher, il fondra sur elle et en pompera le suc. Allons, toi, dépose tout cet attirail par terre. Conseil, Prytanes, vous voyez Théoria. Considérez quels biens je vous apporte et je vous livre. Vous pouvez tout de suite lui lever les deux jambes en l’air et consommer le sacrifice. Voyez comme cette cuisine est belle, et c’est pour cela qu’elle est toute noircie : avant la guerre, le Conseil avait là ses casseroles. En la possédant, nous pourrons, dès demain, entrer brillamment en lice, lutter par terre, marcher à quatre pattes, la jeter sur le coté, nous tenir à genoux, tête baissée, puis, frottés d’huile, comme au pancration, frapper en jeune homme, fouiller et agir tout ensemble du poing et du pénis. Le troisième jour, après cela, vous ferez l’hippodromie, cavalier serrant de près un cavalier, attelages renversés les uns sur les autres, essoufflés, haletants, se donnant de mutuelles secousses ; d’autres, épuisés par les courbes, tombant de leurs chars. Mais, ô Prytanes, recevez Théoria. Tu vois avec quel empressement ce Prytane l’a reçue. Tu ne ferais pas ainsi s’il s’agissait d’une introduction gratuite ; mais je te verrais alléguer une transaction rétribuée. |
|||
⚫ | |||
conduises. |
|||
⚫ | |||
rxwozzos. |
|||
Non, mon cher, il fondra sur elle et en pompera le |
|||
suc. Allons, toi, dépose tout cet attirail par terre. ——Con- |
|||
seil, Prytanes, vous voyez Théoria. Considérez quels biens |
|||
je vous apporte et je vous livre. Vous pouvez tout de |
|||
suite lui lever les deux jambes en l’air et consommer le |
|||
sacrilîce. Voyez comme cette cuisine est belle, et c’est |
|||
pour cela qu’elle est toute noircie : avant la guerre, le |
|||
Conseil avait la ses casseroles. En la possédant, nous pour- |
|||
rons, des demain, entrer brillamment en lice, lutter par |
|||
terre, marcher ai quatre pattes, la jeter sur le côté, nous |
|||
tenir à genoux, tête baissée, puis, frottés d’huile, comme |
|||
au pankration, frapper en jeune homme, fouiller et agir |
|||
tout ensemble du poing et du pénis. Le troisième jour, |
|||
après cela, vous ferez l’hippodromie, cavalier serrant de |
|||
près un cavalier, attelages renversés les uns sur les autres, |
|||
essoufflés, haletants, se donnant de mutuelles secousses; |
|||
d’autres, épuisés par les courbes, tombant de leurs chars. |
|||
Mais, ô Prytanes, recevez Théoria. Tu vois avec quel em- |
|||
pressement ce Prytane l’a reçue. Tu ne ferais pas ainsi s’il |
|||
s’agissait d’une introduction gratuite; mais je te verrais |
|||
alléguer une transaction rétribuée. |
|||
LE cuouurx. |
|||
⚫ | |||
quand on est tel que toi. _ |
|||
Pied de page (noinclude) : | Pied de page (noinclude) : | ||
Ligne 1 : | Ligne 1 : | ||
<references/> |