« Page:Bellocq - Effets physiologiques de la naphtaline.djvu/5 » : différence entre les versions

Loïc Mottier (discussion | contributions)
Aucun résumé des modifications
Contenu (par transclusion) :Contenu (par transclusion) :
Ligne 1 : Ligne 1 :




{{Centré|'''AVANT-PROPOS'''}}


{{Centré|AVANT-PROPOS}}


{{Centré|{{Séparateur}}}}


{{Centré|――――}}




Les animaux domestiques, en dehors de cas exceptionnels qui ne sauraient nous préoccuper en ce moment, sont pour nous des machines qui fournissent un certain revenu. C’est assez dire que dans tout ce qui les concerne, l’intérêt doit être consulté ; par conséquent le médecin-vétérinaire qui traite un animal, a deux buts à remplir : 1° guérir ; 2° guérir à bon marché. Il est inutile de dire que toute cure dont les frais dépassent la valeur du malade est par cela même à rejeter. Il en résulte que les dépenses d’un traitement doivent être inférieures à une valeur déterminée, d’où l’obligation de rechercher nos moyens thérapeutiques dans les conditions les moins onéreuses.

Les animaux domestiques, en dehors de cas exceptionnels
qui ne sauraient nous préoccuper en ce
moment, sont pour nous des machines qui fournissent
un certain revenu. C’est assez dire que dans tout ce
qui les concerne, l’intérêt doit être consulté ; par
conséquent le médecin-vétérinaire qui traite un animal,
a deux buts à remplir : 1° guérir ; 2° guérir à
bon marché. Il est inutile de dire que toute cure dont
les frais dépassent la valeur du malade est par cela
même à rejeter. Il en résulte que les dépenses d’un
traitement doivent être inférieures à une valeur
déterminée, d’où l’obligation de rechercher nos
moyens thérapeutiques dans les conditions les
moins onéreuses.