« Page:La Fayette, Tencin, Fontaines - Œuvres complètes, Lepetit, 1820, tome 2.djvu/14 » : différence entre les versions

72ALI (discussion | contributions)
État de la page (Qualité des pages)État de la page (Qualité des pages)
-
Page corrigée
+
Page validée
Contenu (par transclusion) :Contenu (par transclusion) :
Ligne 17 : Ligne 17 :
qui fut depuis reine d’Espagne, commençait à faire paraître un esprit surprenant, et
qui fut depuis reine d’Espagne, commençait à faire paraître un esprit surprenant, et
cette incomparable beauté qui lui a été si funeste. Marie Stuart, reine d’Écosse, qui
cette incomparable beauté qui lui a été si funeste. Marie Stuart, reine d’Écosse, qui
venait d’épouser M.le dauphin, et qu’on appelait la Reine Dauphine, était une
venait d’épouser M. le dauphin, et qu’on appelait la Reine Dauphine, était une
personne parfaite pour l’esprit et pour le corps ; elle avait été élevée à la cour de
personne parfaite pour l’esprit et pour le corps ; elle avait été élevée à la cour de
France, elle en avait pris toute la politesse ; et elle était née avec tant de dispositions
France, elle en avait pris toute la politesse ; et elle était née avec tant de dispositions