« Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle/Symbole » : différence entre les versions

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race aryenne à diviser la puissance supérieure et à admettre l'antagonisme
au sein même de l'ordre divin. D'un autre côté, l'esprit logique
de l'Arya, son sens pratique, le portent à concevoir l'unité, le moteur
unique. Pour contenter ces deux sentiments nés avec lui, mais qui ne
se développent que successivement, l'Arya symbolise toutes les divisions
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à Paris, pour se livrer aux études du droit canonique et du droit civil;
c'était vers 1255. Le reste de sa vie se passa en Italie et dans le midi de
la France, où il occupa le siégesiège de Mende. Or, Guillaume Durand, qui,
dans son ouvrage, commence par écrire sur l'église et ses parties, parle
des fondements, des murs, des piliers, voûtes, toits, fenêtres, de l'orientation,
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32, par M. P. Pâris;
et le <i>Bestiaire d'amour par Richard de Fournival, suivi de la
reponseréponse de la Dame</i>, d'après
le manuscrit de la Bibl. impér. (Hippeau, 1860, A. Aubry, édit.).