« Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle/Escalier » : différence entre les versions
Contenu supprimé Contenu ajouté
m correction typo |
|||
Ligne 1 :
{{TextQuality|100%}}<div class=prose>
{| width=100% border="0"
| width=33% style="background: #ffe4b5" | <center>< [[Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle - Tome 5, Épi|Épi]]</center>
Ligne 247 :
que parmi tant d'innovations introduites dans l'art de bâtir par les architectes
laïques de la fin du XII<sup>e</sup> siècle, la nécessité d'arriver promptement
à un
manifestes.
</div>
Ligne 298 :
visibles en partie, posés dans un angle ou le long des parois de la chambre
inférieure, et ajourés sur cette pièce. À ce propos, il est important de se
pénétrer des principes qui ont dirigé les architectes du moyen
construction des escaliers. Ces architectes n'ont jamais vu dans un escalier
autre chose qu'un appendice indispensable à tout édifice composé de
Ligne 323 :
de larges degrés; l'important était de disposer ces degrés à proximité des
pièces auxquelles ils devaient donner accès. C'est ce qui explique la multiplicité
et l'
Cependant
nous venons de dire qu'au Louvre, Charles V avait déjà fait construire
Ligne 476 :
liberté;
aussi (bien que les monuments existants soient malheureusement
fort rares) les descriptions de châteaux et de monastères font-elles mention
d'escaliers remarquables.
</div>
Ligne 677 :
marches elles-mêmes (figure 9). Lorsque l'on donna un grand diamètre à
ces escaliers, il ne fut plus possible de prendre le noyau dans la marche;
on élargit ces noyaux pour éviter l'
centre, et celles-ci furent encastrées dans ce noyau bâti par assises, ou
bien encore on composa les noyaux de grandes pierres en délit comme
Ligne 972 :
filet en charpente cloué le long d'un pan de bois.
Mais souvent les escaliers à vis en bois étaient
une œuvre indépendante de la bâtisse. Ces escaliers mettaient en
communication deux étages, et on les plaçait dans l'angle d'une pièce pour
Ligne 1 038 :
qu'on y taillait des mains courantes, qu'on y ménageait des renforts pour
recevoir les petits bouts des marches, de même on façonnait les noyaux
en charpente. Nous avons vu démolir dans l'ancien
à Paris, un joli escalier à vis en menuiserie, dont le noyau pris dans une
longue pièce de bois de douze à quinze mètres de hauteur était fort habilement
|