« Dictionnaire raisonné de l’architecture française du XIe au XVIe siècle/Contre-courbe » : différence entre les versions

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Ils se gardent d'appliquer les contre-courbes à de grandes archivoltes, ce
qui est toujours d'un effet lourd et disgracieux; ils les tracent seulement
au-dessus d'arcs secondaires, et souvent ils dissimulent leur aiguitéaiguïté supérieure
en rectifiant quelque peu la courbe donnée par le trait de compas.
Il nous suffira d'un exemple pour faire ressortir cette observation. Dans
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(Voir ci-contre la fig. 2.) On voit qu'ici l'architecte a tracé les
contre-courbes, non point seulement au moyen de deux traits de compas,
mais en rectifiant l'aiguitéaiguïté, ainsi que nous venons de le dire. Cette archivolte
n'a qu'un mètre environ d'ouverture et n'est point appareillée en
claveaux; sa partie supérieure est prise dans une seule assise reposant