« Nobiliaire et armorial de Bretagne/R » : différence entre les versions

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==[[Page:Potier de Courcy - Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 3.djvu/20]]==
 
Rabasté (orig. d’Anjou), s{{e|r}} de la Rivière, par. de Garfaatain, — de Pontfilly, par. de
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Rabinart, s{{e|r}} du Houx et delà Paviotais, par. de Talensac, — de la Ferronnaye, par. de Bréteil, — du Plessix, par. de Cintré. Réf. de 1513, dites par., év. de Saint-Malo et Rennes.
==[[Page:Potier de Courcy - Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 3.djvu/21]]==
 
De sable à neuf billettes d’argent, 3. 3.2 et 1 ; au lambel de même(Arm.de I’Ars). Bertrand, écuyer dans une montre reçue à la Querche en 1380.
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Les s{{e|r}} de Vezin, de la Caliorne et de la Feillée, déboutés à la réformation de 1668 et à l’intendance en 1701.
==[[Page:Potier de Courcy - Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 3.djvu/22]]==
 
Racappé (orig. d’Anjou), marquis de Maignanne en 1701, — s{{e|r}} du Vergier, par. d’Ancenis.
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Tome III. 3
 
Ragaud, s{{e|r}} de la Chataigneraye.
==[[Page:Potier de Courcy - Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 3.djvu/23]]==
r}} de la Chataigneraye.
 
D’argent à la bande d’azur, chargée de trois coquilles d’or, accomp. en chef de . trois étoiles de gueules, 2. et i, et en pointe d’une branche de chêne de sinople, posée en bande (B. L.).
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Un garde-scel à la chancellerie en 1781.
==[[Page:Potier de Courcy - Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 3.djvu/24]]==
 
Raguideau, s{{e|r}} du Rocher, par. de Moncières, — du Grémil, du Vauguillaume et du Plessis, par. de Puceul, — de la Rouaudière.
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Alain, secrétaire du duc, franchi de fouages en 1429.
==[[Page:Potier de Courcy - Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 3.djvu/25]]==
 
Rais Ou Rays (dk), s{{e|r}} duditlieu, par. de Ploubalay.
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Maint, par arrêt du pari, de 1782, cinq gén.
==[[Page:Potier de Courcy - Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 3.djvu/26]]==
 
D’argent au lion de gueules, couronné d’azur, accomp. de deux raies de môme (Arm. 16961.
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Rames (des), S’ du Buron, par. de Vigneux, — du Pont-de-Renac, — du Breil, par. de la Haye-Fouassière, — des Gléons, par. de Haute-Goulaine, — de Laudigère et de la Pannière, par. de Vallet, — de la Mauguitonnière, par. de Maisdon, — de Bléhéban, par. de Caden.
 
Réf.
Réf. et montres de 1427 à 1481, par. de Haute-Goulaine et Vallet, év. de Nantes, et Caden, év. de Vannes.
==[[Page:Potier de Courcy - Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 3.djvu/27]]==
et montres de 1427 à 1481, par. de Haute-Goulaine et Vallet, év. de Nantes, et Caden, év. de Vannes.
 
Jean, s{{e|r}} du Buron, vivant en 1430, épouse Jeanne de Rohan, dont : Marie, mariée 1° à Jean de Tréal, dont la postérité a transmis le Buron aux Sévignè vers 1490 ; 2° à Christophe Chabot, s’de Liré, gouverneur de Brest, + 1504.
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Raoul, s{{e|r}} de de la Guibourgère, de Saint-Ouen, de la Ragotière, du Boismaqueau et du Tremblay, par. de Teillé, — de Pannecé, par. de ce nom, — de la Motte du Clos, par. de Maumusson, — de Mésanger, par. de ce nom, — de Château-Dérech et de Kerabraham, par. de Questembert, —de Rangoët, par. de Molac.
==[[Page:Potier de Courcy - Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 3.djvu/28]]==
 
Ext., réf. 1670, cinq gén., ress. de Nantes, a pâtre et avo.
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Un maréchal de camp en 1823, anobli sous le titre de baron en 1822, lieutenant général en 1833, pair de France en 1846, f 1852.
 
Raqukt (
Raqukt (du) (orig. du Montferrat, maint, en Franche-Comté en 1698 et 1716), s{{e|r}} de Lorme, — de Montjay, — de la * Vieilleloye.
==[[Page:Potier de Courcy - Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 3.djvu/29]]==
du) (orig. du Montferrat, maint, en Franche-Comté en 1698 et 1716), s{{e|r}} de Lorme, — de Montjay, — de la * Vieilleloye.
 
D’azur au croissant d’argent, accomp. de trois serres d’aigle d’or (La Ch. des B.).
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Fondu dans Moncuit.
==[[Page:Potier de Courcy - Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 3.djvu/30]]==
 
Ravenel (orig. de Picardie), s{{e|r}} du Plessix.
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Tome III. 4
==[[Page:Potier de Courcy - Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 3.djvu/31]]==
 
Razilly (de) (orig. de Touraine).
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Ane. ext., réf. 1669, dix gén. ; réf. et montres de 1463 à 1535, par. de Pleubihan, év de Trégiiier.
==[[Page:Potier de Courcy - Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 3.djvu/32]]==
 
D’argent à trois fasces de gueules, accomp. de dix merlettes de sable, 4. 3. 2 et 1, voyez Boisriou.
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Jean, de la paroisse de Maroué, puissant de corps et de biens, fréquente la guerre et appartient à plusieurs nobles ; est contrarié et s’arme en 1423.
 
Regnaud (
Regnaud (orig. du Poitou), s{{e|r}} de Traversay.
==[[Page:Potier de Courcy - Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 3.djvu/33]]==
orig. du Poitou), s{{e|r}} de Traversay.
 
D’argent au chevron d’azur, accomp. de Irois étoiles de gueules ; à la bordure dentelée de même.
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Cette famille s’est alliée en Bretagne aux la Tribouille, Kervèno, Goulaine, la RocheSaint-Andrè, et Langlois de la Roussière.
==[[Page:Potier de Courcy - Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 3.djvu/34]]==
 
Regnouard (orig. de Gascogne), s{{e|r}} d’Onglée et de Rivière, par. de Vlsseiche, — comte de "Villayer en 1681, par. d’Ossé, —sr de Drouges, par. de ce nom, — de Gesvres, par. de Treillières, — de Procé, par. de Sucé, — de Gouvran, par. de Plérin, — des Brosses, par. de Mélesse. Maint., réf. 1668, 0 gén., ress. de Rennes.
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D’azur à trois renards passants d’or (G. le B.).
==[[Page:Potier de Courcy - Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 3.djvu/35]]==
 
Renaud, s{{e|r}} de Beauregard, — de la Gilberdière,
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Porte un arbre arraché, soutenu do deux renards affrontés (Sceau 1201) ; aliàs : d’or à la croix de sable (Sceau 1368).
 
Harscoët,
Harscoët, fils Gestin, témoin de la donation du monastère de Saint-Cyr à l’abbaye du Roncerai en 1038 ; Harscoêt, témoin d’une donation à l’abbaye de Buzai en 1109.
==[[Page:Potier de Courcy - Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 3.djvu/36]]==
fils Gestin, témoin de la donation du monastère de Saint-Cyr à l’abbaye du Roncerai en 1038 ; Harscoêt, témoin d’une donation à l’abbaye de Buzai en 1109.
 
La branche aînée fondue en 1250 dans Chabot, d’où la baronnie de Retz est passée à, une branche de Laval qui prit les nom et armes de Retz et successivement aux Chauvigny, Tournemine, Annebaud et Gondy. Elle fut érigée on duché-pairie l’an 1581 en faveur de ces derniers et ce duché a été possédé depuis par les maisons Bonne de Lesdiyuières, Cossé-Brissac, Neufville de Villeroy et Brie de Serrant.
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Réf. et montres de 1427 à 1536, dite par. et par. de Saint-Guénolé de Batz, év. de Vannes et Nantes.
==[[Page:Potier de Courcy - Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 3.djvu/37]]==
 
De gueules au chevron d’hermines, comme Rivière et Villeneuve.
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Riboissière (de La), voyez Pays (le).
==[[Page:Potier de Courcy - Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 3.djvu/38]]==
 
Ribou, s’ de Beauvais.
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Tomb III. 5
==[[Page:Potier de Courcy - Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 3.djvu/39]]==
 
Richard (orig. d’Anjou), s’ de lieauehamps, - des Gringuenières, — de Marigné.
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D’azur à six billettes d’argent, 3. 2 et 1 (Sceau 1276). Richelieu (de), voyez Plessis (du).
==[[Page:Potier de Courcy - Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 3.djvu/40]]==
 
Richemont ou Richmond, comté en Angleterre, province d’York.
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Déb., réf. 1671, ress. de Rennes.
 
Ricouàrt (
Ricouàrt (orig. de Brie), s{{e|r}} de Colombes, — comte d’Hérouville en 1654, — s{{e|r}} de Glaye, — de Villeroy, au Vexiu français.
==[[Page:Potier de Courcy - Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 3.djvu/41]]==
orig. de Brie), s{{e|r}} de Colombes, — comte d’Hérouville en 1654, — s{{e|r}} de Glaye, — de Villeroy, au Vexiu français.
 
D’azur à une ombre de soleil d’or ; au chef d’argent, chargé d’un lion léopardé de sable (G. G.), Devise : Subumbrâ solis, nascitur virtus.
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La branche aînée fondue en 1554 dans la maison de Lorraine-Elbeuf et la terre de
 
Ri oui acquise
Ri oui acquise par le s{{e|r}} Guénègaud, érigée pour lui en comté en 1661, vendue en 1697 aux Danycan, transmise par alliance en 1708, k Charles Huchet, s{{e|r}} de la Bédoyère, fut revendue en 1761 k Louis-Auguste de Rieux, marquis d’Assérac.
==[[Page:Potier de Courcy - Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 3.djvu/42]]==
par le s{{e|r}} Guénègaud, érigée pour lui en comté en 1661, vendue en 1697 aux Danycan, transmise par alliance en 1708, k Charles Huchet, s{{e|r}} de la Bédoyère, fut revendue en 1761 k Louis-Auguste de Rieux, marquis d’Assérac.
 
La branche d’Assérac qui existait seule au dernier siècle, a fini en la personne de LouisCharles-Marie, fusillé à la suite de l’expédition de Quiberon en 1795.
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Réf. et montres de 1423 à 1535, dites par., év. de Saint-Rrieuc.
 
t
t Porte une bande , accostée de deux merlettes surmontées et soutenues d’une - étoile (Sceau 1276) ; aliàs : un dextrochère (Sceau 1381). t,.
==[[Page:Potier de Courcy - Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 3.djvu/43]]==
Porte une bande , accostée de deux merlettes surmontées et soutenues d’une - étoile (Sceau 1276) ; aliàs : un dextrochère (Sceau 1381). t,.
 
Olivier, croisé en 1248, (cab. Courtois) ; Guillaume, ratifie le traité de Guérande en 1381.
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Fondu dans cCEsclabissac.
 
Riou,
Riou, s’ de Kersalaun, par.de Quimaec, év. de Tréguier. . Dor au rocher de sable, parti d’azar à trois palmiers d’argent, 2 et i.
==[[Page:Potier de Courcy - Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 3.djvu/44]]==
s’ de Kersalaun, par.de Quimaec, év. de Tréguier. . Dor au rocher de sable, parti d’azar à trois palmiers d’argent, 2 et i.
 
Un procureur de la juridiction de Lanmeur en 1696; un avocat au parlement en 1786, l’un des défenseurs des administrateurs du Finistère en 1793, puis préfet et baron de l’Empire, f 18H.
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Cette famille, aujourd’hui éteinte, s’était alliée aux Saisy, Kernezne et Coroller.
 
Rivault
Rivault ou Rivot, s’ de Kerizac et de Kermelven, par. de Plouisy.
==[[Page:Potier de Courcy - Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 3.djvu/45]]==
ou Rivot, s’ de Kerizac et de Kermelven, par. de Plouisy.
Réf. de 1543, dite par., év. de Tréguier.
 
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Pierre, virant en 1480, père de René, marié à Marie de la Cressonnière.
 
Rivière (de La), s{{e|r}} dudit lieu et du Kernouan, par. de Haut-Gorlay, — de Kersaudy — de Saint-Quiouët et du Plessix-Hérupet, par. de Plaintel, — de l’Isle-Aval, par * do Saint-Potan, — comte de Plœuc en 1696, par. de ce nom, — s’ de la
==[[Page:Potier de Courcy - Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 3.djvu/46]]==
Touche et de Kervieux, par. de Saint*Marcel, — de Beauchesne, par. de Quessoy, — de Kerlabourat, — de Saint-Michel, par. de Guingamp, — de Kertoudy, de Kerauffret et du Disquay, par. de Bourbriac, — de la Villeneuve, — de Brunolo, —du Vieux-Marché et du Pontblanc, par. de Plouar3t, — de Paulmy, en Touraine, —de Saint-Germain, en Anjou.
 
Ane. ext. chev., réf. 1670, treize gén. ; réf. et montres de 1469 à 1543, par. de Haut-Gorlay, év. de Cornouaille et Plaintel, év. de Saint-Brieuc.
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Tome III. 6
 
Rivière (de La), S’ dudit lieu, par. de Moigné, — de la Morinaye, par. de Saint-James-
==[[Page:Potier de Courcy - Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 3.djvu/47]]==
dudit lieu, par. de Moigné, — de la Morinaye, par. de Saint-James-
de-Ia-Lande.
Réf. de 1437 à 1456, dites par., év. de Rennes.
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Ane. ext., réf. 1669, huit gén. ; réf. et montres de 1432 à 1513, dites par., év. de Saint-Malo et Vannes.
==[[Page:Potier de Courcy - Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 3.djvu/48]]==
 
D’argent à trois cœurs de gueules.
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Antoine, notaire et secrétaire du roi Louis XI, anobli en 1481 ; François, conseiller clerc au parlement de Paris, abbé de Paimpont en 1672.
==[[Page:Potier de Courcy - Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 3.djvu/49]]==
 
Robert, s{{e|r}} de la Guérais, de la Boiietardais et du Pont-Ville-d’Anne, par. de Ploubalay, — de Launay, par. de Trébédan, — de la Grassière, par. de Noyal-sur-Vilaine, — de la Bellangerais, — de la Touche, par. de Créhen, — du Pont.
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Olivier, vivant en 1513, épouse Tiphaine Bizien.
 
".robien (de), s’ dudit lieu, par. du Fœil, — de Boishue, — de la Villemainguy et vicomte de Plaintel, par. de Plaintel — srde Keraër, par. de Locmariaquer, —de Kerambourg et de Kerambartz, par. de Landaul, — de Gamzon, par. de Plaudren, — du Plesssis-Keraër, par. de Grach, — de la Boulaye, par. de Boquého, — de SainteGeneviève
==[[Page:Potier de Courcy - Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 3.djvu/50]]==
et de Penros, par. d’Iozinzac, — de Treulan, par. de Plumergat, — de Locquellas, par. d’Arradon, — de Spinefort, par. de Languidic, — de Coëtsal.
 
Ane. ext. chev., réf. 1668, neuf gén.; réf. et montres de 1449 à 1535, par. de Saint-Turiaff de Quintin et le Fœil, év. de Saint-Brieuc.
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De gueules à trois fers de pique d’argent, les pointes en bas.
==[[Page:Potier de Courcy - Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 3.djvu/51]]==
 
Pierre, époux en 1644 de Marie Glastel, père de François et ce dernier de Charles avocat au présidial d’Angers, puis conseiller au parlement en 1689, marié à Renée Boux, 11750, sans postérité.
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Maint, par les commissaires en 1726 par arrêt du pari, de 1777, onze gén., et admit aux Etats de 1786.
==[[Page:Potier de Courcy - Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 3.djvu/52]]==
 
D’argent à trois fasces d’azur.
Ligne 1 343 ⟶ 1 389 :
 
Pierre, vivant en 1481, épouse Marguerite de Combout, de la paroisse de Querrien.
==[[Page:Potier de Courcy - Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 3.djvu/53]]==
 
Roch’congar (de), év. de Tréguier.
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De gueules à deux léopards d’or ; (Arm. 1396) aliàs : à la bande brochante (Sceau 1400, Mss. Gaignières).
 
Brice, croisé en 1202, se distingua au siège de Constantinople en 1204 ; Geoffroi, petitfils du précédent, créé chevalier au combat des Trente en 1350 ; Guillaume, fils monsieur
==[[Page:Potier de Courcy - Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 3.djvu/54]]==
Brice, chevalier, vivait en 1400; Geo/froi, fils Guillaume, mentionné à la réformation de 1478, paroisse de Cuguen. La branche aiuée fondue dans Saint-Brice, puis Montbourcher. Moderne : Thierry.
 
Roche (de La), s{{e|r}} dudit lieu, év. de Vannes.
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*roche (de La), S’ dudit lieu, par.de Saint-André-de-Treize-Voix, — de l’Espinay et de la Jasaière, par. du Bignon, — de Vouvantes, par. de Saint-Julien, — de la Desnerie et de la Verrière, par. de Saint-Donatien, — de la Rivière, par. d’Abbaretz, — de la Noè-Briord, de la Salle, de l’Aubinière et de la Toucheblanche, par. de Fresnay, — de la Braudaisière, par. de Sainte-Pazanne, — de la Forest, en Anjou, — des GannuTomk III. 7
 
chères,
chères, par. de Treize-Septiers, dans les Marches, — de Chambrette, — de Mareil, par. de Sainte-Marie de Pornic, — de la Haye. Ane. ext. chev., réf. 1669, neuf gén., ress. de Nantes.
==[[Page:Potier de Courcy - Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 3.djvu/55]]==
par. de Treize-Septiers, dans les Marches, — de Chambrette, — de Mareil, par. de Sainte-Marie de Pornic, — de la Haye. Ane. ext. chev., réf. 1669, neuf gén., ress. de Nantes.
 
De gueules à trois rocs d’échiquier d’or.
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Ecartelé d’argent et de gueules, à quatre aiglettes de l’un en l’autre (Arm. de l’Ars.).
 
Roche-andry (de La) (orig. d’Angoumois), s{{e|r}} dudit lieu.
==[[Page:Potier de Courcy - Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 3.djvu/56]]==
orig. d’Angoumois), s{{e|r}} dudit lieu.
 
Losangé de gueules et d’argent, chaque losange d’argent chargée de deux burelies d"azur.
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Roche-derrien (de La), s{{e|r}} dudit lieu, par. de ce nom, év. de Tréguier, ville et château assiégé en 1347 et 1394.
==[[Page:Potier de Courcy - Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 3.djvu/57]]==
 
Porte un léopard (Sceau 1203).
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Burelé d’argent et d’azur de dix pièces, qui est Lusignan, à trois chevrons do gueules, brochan ts sur le tout, le premier écimé. Devise : C’est mon plaisir.
==[[Page:Potier de Courcy - Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 3.djvu/58]]==
 
Foucaud, s* de la Roche, témoin à une donation faite à l’abbaye d’Uzerches en 1019; Aymar et Guy, père et fils soutinrent diverses guerres contre les comtes d’Angoulôme de 1120 à 1170; Etienne, évêque de Rennes, f 1166 et enterré à Saint-Melaine ; François, chambellan des rois Charles VIII et Louis XII et parrain du roi François I" en 1494 ; Antoine, général des galères en 1528 ; quatre grands maîtres de la garde-robe ; deux grands veneurs de France; deux cardinaux, grands aumôniers de France; deux lieutenantsgénéraux des armées navales; deux abbés deBeauport de 1678 à 1722; François-AlexandreFrédéric, duc de la Rochefoucauld et de Liancourt épousa en 1764 Félicité-Sophie de Lannion, dame de Quinipily et de Camors dont la postérité existe.
Ligne 1 573 ⟶ 1 628 :
 
Roche-moysan (de La), baron dndit lieu, par. d’Arzano, év. de Vannes.
==[[Page:Potier de Courcy - Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 3.djvu/59]]==
 
Geoffroi en procès avec Sybille de Beaugency, abbesse de la Joie en 1282. Fondu dans Gauvaing, d’où la baronnie de la Roche-Moysan a passé successivemen aux Bentelée, Clisson, Vendôme, Rohan-Guèmenè, Tinténiac et par acquêt Monistrol.
Ligne 1 612 ⟶ 1 668 :
 
Fondu dans Marquer.
==[[Page:Potier de Courcy - Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 3.djvu/60]]==
 
Rocher (du), srde la Rallais, par. de Lanvallay.
Ligne 1 654 ⟶ 1 711 :
 
De gueules à trois fleurs de lys d’argent, une étoile d’or en chef (Sceau 1380), voyez Boisglé et La Gornillière.
==[[Page:Potier de Courcy - Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 3.djvu/61]]==
 
Guillaume, écuyer dans une montre de 1370 ; Pierre, juveigneur, vivant en 1469, épouse Henriette de Rueneuve, dame de Penanros.
Ligne 1 691 ⟶ 1 749 :
Rocquand, s{{e|r}} de la Hégronnière, — de Pontbureau, — des Gloudis, par. de Saint-
Jean-de-Gorcoué.
==[[Page:Potier de Courcy - Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 3.djvu/62]]==
 
D’argent à deux bourdons de pèlerin passés en sautoir, accomp. en chef d’une étoile et en pointe d’un croissant, le tout de gueules.
Ligne 1 731 ⟶ 1 790 :
Tome III. 8
 
Roger (
Roger (orig. de Picardie), s{{e|r}} de Vavincourt, — de la Gahardière.
==[[Page:Potier de Courcy - Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 3.djvu/63]]==
orig. de Picardie), s{{e|r}} de Vavincourt, — de la Gahardière.
 
Maint, par arrêts du pari, de 1740 et 1768, quatre gén., ress. de Guérande.
Ligne 1 765 ⟶ 1 826 :
 
Rogier (orig. du Poitou), s’ de Marigny, — d’Irais, — de Rothemond, — de Belleville, — de la Chaise.
==[[Page:Potier de Courcy - Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 3.djvu/64]]==
 
D’argent au léopard de sable, armé de gueules, acoomp. en chef de deux roses de môme, et en poiote d’un fer de roquet de sable ; aliâs : d’azur à trois roses d’or.
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François, s{{e|r}} de la Binotière, docteur en médecine, marié vers 1550 à Jeanne Phelipon, obti nt en 1570 du roi Charles XI, lettre de sauvegarde portant défense de piller sa maison de la Poôze; Claude, exempt des gardes-du-corps du Roi en 1653.
 
Rohan (dk) (ramage des comtes de Porhoët), vicomte, puis duc de Rouan en 1603, — ■vicomte puis prince de Léon en 1572,— s* de Chateauneuf-en-Timeraie, au Perche,—
==[[Page:Potier de Courcy - Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 3.djvu/65]]==
de Noyon-sur-Andelle, en Normandie, — de Landerneau, — de Daoulas, — de Coatmeal, par. de ce nom, — de la Joyeuse-Garde, par. de la Foret, — de la RocheMorice, par. de Ploudiry, — de Quéménéven, par. de ce nom, — du Stang, par. de Pluguffan, — des Salles, par. de Perret, — de Pontivy, par. du Cohazé, — de Mûr et de Gorlay, — baron de Pontchâteau, — s{{e|r}} de la Garnaehe et de Beauvoir-sur-Mer, en Poitou, — baron de Glisson, — comte de Porhoët, — prince deGuémené en 1570, — s’de Rustéphan, par. de Nizon, — baron de la Roche-Moysan, par. d’Arzano — s’ de Tréfaven, par. de Plœmeur, — de Kerouazle, par. de Guilers, —duc de Montbazon, en Touraine, en 1588, — prince de * Rochefort-en-Yveline, près Rambouillet, et de * Montauban,—baron de Frontenay (érigé en duché sous le nom de Rohan-Rohan en 1714), et prince de Soubise, en Saintonge, — s{{e|r}} de Gié et du "Verger, par. de Seiches, en Anjou, — vicomte de Fronsac, en Guyenne,—srde Penhoët,par.de SaintThégonnec, — du Gué-de-l’Isle, par. de Plumieux, — du Poulduc, par. de SaintJean-Brévelay, — de Trégalet, par. de Plonéour, — de la Ghasteigneraye, par. de Campénéac, — du Henleix et de Marzain, par. de Saint-Nazaire, — de Peillac, par. de ce nom, — deKerjean, par. de Piriac, pairs de France.
 
Ane. ext. chev., réf. 1669, seize gén. ; réf. et montres de 1426 à 1536, par. de Cléguérec, Plœmeur et Saint-Jean-Brévelay, év. de Vannes; Pluguffan, Plonéour et Nizon, év. de Gornouaille; Plumieux, èv. de Saint-Brieuc et Campénéac, év. de Saint-Malo.
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Seize membres admis aux honneurs de la cour depuis -1734.
==[[Page:Potier de Courcy - Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 3.djvu/66]]==
 
— La branche aînée fondue en 1517 dans les Rohan-Frontenay, et de ceux-ci dans la maison de Chabot, par le mariage en 1645 de Marguerite, duchesse de Rohan, avec Henri Chabot, s{{e|r}} de Sainte-Aulaye, avec substitution expresse des nom et armes de Rohan aux enfants à naître de ce mariage, ce qui a été exécuté, et le titre du duché a été renouvelé en 1652 en faveur dudit s{{e|r}} Chabot, dont les descendants existent encore. Voyez Chabot.
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Roi (le) . s’de la Durantais et de la Brosse, par. d’Epiniac,— de Brégerac, par. de Gréhen, — de la Cordonnaye, — de la Ville-Geffroi, — de la * Trochardays, — de la
==[[Page:Potier de Courcy - Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 3.djvu/67]]==
 
Vieuville, — de Vauhérault, — de la Fardelais, par. de Ploubalay, — de la Rivière, — du Guébriant, par. de Tressé.
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Rolland, s{{e|r}} de Goëlhual, par. de Plouguernével, —de Kerengarz, par. de Paule, — de Kerdisson, par. de S’.ival, — du Porzo, — de Gardelan, par. de Baden, — de Talhouèt, par. de Saint-Gouvry, — de Penguilly, par. de Plouray.
 
Réf.
Réf. et montres de 1448 à 1536, dites par., et par. de Plussulien, év. de Cofnouaille et Vannes. D’azur à trois coquilles d’or (Arm. de l’Ars.), comme Fournoir.
==[[Page:Potier de Courcy - Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 3.djvu/68]]==
et montres de 1448 à 1536, dites par., et par. de Plussulien, év. de Cofnouaille et Vannes. D’azur à trois coquilles d’or (Arm. de l’Ars.), comme Fournoir.
 
Guillemot, de la paroisse de Noyal-Pontivy, franc et exempt, à la réformation de 1448, combien qu’il vende vin en détail.
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Ext., réf. 1669, six gén.; réf. et montres de 1513 à 1543, par. de Pludual, év. de Saint-Brieuc.
==[[Page:Potier de Courcy - Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 3.djvu/69]]==
 
D’or au greslier lié de sable, accomp. de trois annelets de môme ; alids : écartelé de Pouènces.
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Nicolas, référendaire en 1588 ; Pierre, référendaire en 1601 ; trois maîtres des comptes en 1619, 1628 et 1650; Jean, s{{e|r}} du Boislouet.gouverneur de Fougères marié vers 1636 à Françoise le Mintier de Carmené ; Isabelle, f 1721, mariée en 1667 à Charles-Marie le Meneust, s{{e|r}} de Bréquigny, président à mortier.
==[[Page:Potier de Courcy - Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 3.djvu/70]]==
 
La branche de la Moinerie fondue en 1666 dans Lambilly ; la branche du Boislouet éteinte en 1656.
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Tome III. 9
 
Roncerais (
Roncerais (des), s{{e|r}} dudit heu et de la Couardière, par. de Vignoc.
==[[Page:Potier de Courcy - Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 3.djvu/71]]==
des), s{{e|r}} dudit heu et de la Couardière, par. de Vignoc.
Réf. 1513, dite par., év. de Rennes.
 
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Roque (de La).
==[[Page:Potier de Courcy - Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 3.djvu/72]]==
 
D’or à trois épis de blé, rangés de sinople et terrassés de même (G. le B.).
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D’argent à trois jumelles de gueules, accomp.de dix merlettes de sable,4.3.2 et 1.
==[[Page:Potier de Courcy - Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 3.djvu/73]]==
 
Guillaume, vivant en 1513, épouse Marie Ruffault, dame du Bourblanc ; Yves, président à mortier en 1622, marié à Madeleine Fouquet de Chalain, f sans hoirs. La branche du Bourblanc fondue dans Tanouarn.
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RoscoëT (du), s{{e|r}} dudit lieu, par. de Moréac, — du Méné, — comte du Chesnay, par. de Guipel, — s’de Leslurgant, par. de Malguenac, — du Porzo, — de Kerizouët, — de Botmarc’h, — de Kervers.
 
Ane.
Ane. ext. chev., réf. 1669, six gén. ; réf. et montres de 1481 à 1536, par.de Moréac, év. de Vannes.
==[[Page:Potier de Courcy - Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 3.djvu/74]]==
ext. chev., réf. 1669, six gén. ; réf. et montres de 1481 à 1536, par.de Moréac, év. de Vannes.
 
D’argent à trois roses de gueules, tigées, de sinople.
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Un membre a fait ses preuves pour les honneurs de la cour en 1788. Famille éteinte en 1854.
==[[Page:Potier de Courcy - Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 3.djvu/75]]==
 
Roslogot (de), s{{e|r}} dudit lieu, par. de Ploumilliau.
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La dernière branche a fini en 1784 en la personne de MicheUAnne-Sèbastien, marquis de Goulaine.
 
Rosmadec (de), s{{e|
Rosmadec (de), s{{e|r}} dudit lieu, — vicomte de Gouarlot et s{{e|r}} de Kergoët, par. de KernévQ\t —s’deKergoniou, par. de Rosporden, — de Coëtquis, par. de Servel, — du Plessix-Josso et de Kernicol, par. de Theix, — de Kerlutu, par. de Belz, — de l’Espinay, — vicomte de Mayneuf, par. de Saint-Didier, — châtelain de Buhen en 1632, par. de Plourhan, —sr de la Villesolon, par. de Plérin, — du Bosc, par. deLantic, — du Gosquer, par. de Guimaëc, — de Chefdubois, par. de Plœmeur, —de Bransquer, — de Kerlegan.
==[[Page:Potier de Courcy - Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 3.djvu/76]]==
r}} dudit lieu, — vicomte de Gouarlot et s{{e|r}} de Kergoët, par. de KernévQ\t —s’deKergoniou, par. de Rosporden, — de Coëtquis, par. de Servel, — du Plessix-Josso et de Kernicol, par. de Theix, — de Kerlutu, par. de Belz, — de l’Espinay, — vicomte de Mayneuf, par. de Saint-Didier, — châtelain de Buhen en 1632, par. de Plourhan, —sr de la Villesolon, par. de Plérin, — du Bosc, par. deLantic, — du Gosquer, par. de Guimaëc, — de Chefdubois, par. de Plœmeur, —de Bransquer, — de Kerlegan.
 
Réf.et montres de 1426 à 1536, par. de Kernével et Rosporden, év. de Gornouaille ; Servel, év. deTréguier; Plourhan et Lantic, év. de Saint-Brieuc ; Belz et Plœmeur, év. de Vannes.
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Réf. et montres de 1426 à 1562, dite par., év. de Gornouaille.
==[[Page:Potier de Courcy - Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 3.djvu/77]]==
 
D’argent à trois roses de gueules (Arm. de l’Ars.).
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Rospiec (de), s{{e|r}} dudit lieu et de Kerasbourg, par. de Fouësnant, — de Kergouer, par. de Tourc’h, — de Trévien, par. de Pontcroix, — de Keruscar, par. de Lannéanou, — du Prat, — de Kermabon, — du Méné-Glisson, par. de Goulien, — de Kerusnou, par. de Ploudalmézeau, — de Kerhuon, par. d’Esquibien, — de Brendelvouez, par. de Brélez.
 
Ane.
Ane. ext., réf. 1669, huit gén. ; réf. et montres de 1444 à 1562, par. de Fouesnant, Locamand et Tourc’h, év. de Gornouaille.
==[[Page:Potier de Courcy - Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 3.djvu/78]]==
ext., réf. 1669, huit gén. ; réf. et montres de 1444 à 1562, par. de Fouesnant, Locamand et Tourc’h, év. de Gornouaille.
 
D’azur à la croix d’or, cantonnée de quatre merlettes de même. Devise : Fidei et amoris.
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Tous III. 10
==[[Page:Potier de Courcy - Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 3.djvu/79]]==
 
Rostaing (de) (orig. du Forez), s{{e|r}} de Rivas.
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Rouaud, s{{e|r}} de la Ville-Martin, par. de Saint-Nazaire, év. de Nantes.
==[[Page:Potier de Courcy - Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 3.djvu/80]]==
 
D’azur au croissant d’argent, accomp. de trois croix pattées de même.
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Pierre, fils Guillaume, vivant en 1423, épouse Catherine le Moyne.
 
RouëL, s{{e|r}} de Kerouël, ar. de Plestin, év. de Tréguier. (G. le B.)
==[[Page:Potier de Courcy - Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 3.djvu/81]]==
ar. de Plestin, év. de Tréguier. (G. le B.)
Rouêrie (de La.), voyez Tuffin.
 
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François, juveigneur d’Encremer, épouse vers 1400, Marguerite de Lescorre; Jean, s’ de Guerdavid, arrière petit-flls des précédents, épouse Françoise de la Tour, dont 1° Hervé, qui a continué la branche de Guerdavid, rapportée ci-devant ; 2° Olivier, vivant en 1513, marié à Marie de Roc’huel, auteur de la branche de Rusunan. Olivier, s{{e|r}} du Moguérou,
==[[Page:Potier de Courcy - Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 3.djvu/82]]==
 
salade dans la garnison de Brest en 1595 en épousant en 1616, Jeanne de Lesquélen, dame de Penfentenyo.’prit les armes de Lesquélen, écartelées de Penfentenyo. La branche de Trédillac fondue dans Keranguen.
Ligne 2 427 ⟶ 2 514 :
 
Ane. ext., réf. 1671, sept gén.; réf. (t montres de 1426 à 1536, dite par., év. de Cornouaille.
==[[Page:Potier de Courcy - Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 3.djvu/83]]==
 
D’argent au pin arraché de sinople, le fût chargé d’un greslier de sable, lié de môme.
Ligne 2 469 ⟶ 2 557 :
 
Jean, fermier des devoirs à Landerneau en 1696; un commandant de bataillon au régiment de Piémont en 1760, chevalier de Saint-Louis en 1747; un lieutenant-maire de Landerneau, député à l’Assemblée législative en 1791, baron de l’Empire en 1808 ; un général de brigade en 1861.
==[[Page:Potier de Courcy - Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 3.djvu/84]]==
 
Roulleaux, s{{e|r}} delà Vallée, ress. de Quimperlé.
Ligne 2 504 ⟶ 2 593 :
 
De gueules au croissant d’argent, surmonté d’une fleur de lys demême(G. leB.).
==[[Page:Potier de Courcy - Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 3.djvu/85]]==
 
Rousseau (le), s{{e|r}} de DiarneJez, par. du Faouët, — de Rosmellec et du Quiliou, par. de Gourin, — de Keroullé, — de Kerguélea, par. de PIcemeur.
Ligne 2 541 ⟶ 2 631 :
 
Rouvray (du), s{{e|r}} dudit lieu et de la Pironnière, par. d’Essé, — de la Ménardais, par. de Marcillé-Robert, — de Champaigné, — de la Voyerie, — de Château-Létard, par. de Saint-Erblon.
==[[Page:Potier de Courcy - Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 3.djvu/86]]==
 
Ext., réf. 1668, septgén. ; réf. de 1440 à 1513, par. d’Essé et Marcillé, év. de Rennes.
Ligne 2 581 ⟶ 2 672 :
 
Tome III. 11
==[[Page:Potier de Courcy - Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 3.djvu/87]]==
 
Roux (le), s{{e|r}} de Coëtando, par. de Plouagat, — de Kermérien, par. de Goudelin, —
Ligne 2 620 ⟶ 2 712 :
Ane. ext.,réf. 1669, dix gén. ; réf. et montres de 1446 à 1534, par. de Guipavas, Plouzané et Plouarzel, év. de Léon. D’azur fretté d’argent ; aliàs : au chef d’or, chargé d’une quintefeuille d’azur. Hervé, vivant en 1375, père AeJean, vivant en 1400, marié à Sibille de Quilbignon.
 
Roux (le) (orig. de Touraine), s{{e|r}} de la Trimouillère, — de Chauzay, — de Ghemans, — de Salvert, — des Aubiers et de la Roche, par. de Coron, en Anjou, — de Soulaine. Ane. ext. chev., réf. 1670, douze gén., ress. de Nantes.
==[[Page:Potier de Courcy - Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 3.djvu/88]]==
ext. chev., réf. 1670, douze gén., ress. de Nantes.
 
Gironné de huit pièces d’argent et de sable (Sceau 1560), comme Kerbain.
Ligne 2 669 ⟶ 2 763 :
 
La branche ainée fondue dans la Houssaye ; la branche de Médavy et de Grancey éteinte en 1729.
==[[Page:Potier de Courcy - Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 3.djvu/89]]==
 
Rouxel, s{{e|r}} de la Jartière, de Ranléon, de Pérouze et de la Barre, par. de SaintIgneuc, — de la Ville-Léart, par. de Sévignac, — de * Lescouët, par. de Plestan, — de la Morinais, — de la Grange, — de la Lande, — de Quéféron, — de Garivan, par. de Morieux, — de la Marre, — de Penarménez, par. de Quimerc’h, — de Tronjoly, par. de Gourin.
Ligne 2 705 ⟶ 2 800 :
 
Rouxel, s{{e|r}} duCrano, par. deLignoI, — deKervérien, par.de Saint-Caradec-Trégomel. Réf. et montres de 1426 à 1536, dites par., év. de Vannes.
==[[Page:Potier de Courcy - Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 3.djvu/90]]==
 
D’argent au chef de sable, chargé de trois quintefeuilles d’argent (G. le B.).
Ligne 2 745 ⟶ 2 841 :
 
Réf. et montres de 1469 à 1535, par. de Trévé, év. de Saint-Brieuc.
==[[Page:Potier de Courcy - Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 3.djvu/91]]==
 
D’argent à trois haches de sable, posées en pal, 2 et 1.
Ligne 2 788 ⟶ 2 885 :
Un secrétaire du Roi en 1736.
 
RoYER(
RoYER(orig. de Normandie, y maint, en 1666), s{{e|r}} de la Louvinière, — marquis de la
==[[Page:Potier de Courcy - Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 3.djvu/92]]==
orig. de Normandie, y maint, en 1666), s{{e|r}} de la Louvinière, — marquis de la
Brisolière en 1672, par. de Lucé, — de Septforges, au Perche, — de la Poigaardiêre,
par. de la Chapelle-sur-Erdre.
Ligne 2 835 ⟶ 2 934 :
Rubin, s{{e|r}} de la Grimaudière, — de Rays, — de la Missonnays.
De sable à six coquilles d’argent, 3. 2 et 1.
==[[Page:Potier de Courcy - Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 3.djvu/93]]==
 
Un conseiller au présidial, puis à la cour royale de Rennes, confirmé dans sa noblesse par httresde 1815.
Ligne 2 871 ⟶ 2 971 :
 
Gilles, natif d’Antrain, fermier des impôts et billots de Bretagne, anobli en 1603, chevalier de l’ordre en 1610, puis conseiller d’Etat, 11618, marié: 1° à Gillette Nicolas, 2° à Françoise Miolais -, du premier lit: Gilles, conseiller au parlement en 1613, f 1627 ; père de Gilles, conseiller en 1677, f 1721 et aïeul de Joseph-René, conseiller en 172S, f 1781 ; un chevalier de Malte en 1713.
==[[Page:Potier de Courcy - Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 3.djvu/94]]==
 
Ruellan, s{{e|r}} du Glosneuf, par. d’Andel, — de la Villeberno, par. de Saint-Michel de
Ligne 2 922 ⟶ 3 023 :
Tome III. 1»
 
Ruffier, s{{e|
Ruffier, s{{e|r}} du Bois-Ruffier, par. de Pleslin, — de la Gibonnays et de la Lourderie, par. de Trévéron, — du Leix, par. de Pleugueneuc. —de Cobaz, par. de Lanhélin, — de Saint-Jean, par. de Saint-Germain de Matignon. Réf. et montres de 1427 à 1535, dites par., év. de Saint-Malo, Dol et Saint-Rrieuc.
==[[Page:Potier de Courcy - Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 3.djvu/95]]==
r}} du Bois-Ruffier, par. de Pleslin, — de la Gibonnays et de la Lourderie, par. de Trévéron, — du Leix, par. de Pleugueneuc. —de Cobaz, par. de Lanhélin, — de Saint-Jean, par. de Saint-Germain de Matignon. Réf. et montres de 1427 à 1535, dites par., év. de Saint-Malo, Dol et Saint-Rrieuc.
 
D’azur semé de billettes d’argent, au lambel de môme (Sceau 1379) ; aliàs : d’azur semé de billettes d’argent, au lion de même brochant (G. le B.).
Ligne 2 954 ⟶ 3 057 :
D’argent au chevron d’azur, accomp. de trois trèfles de gueules, comme Mescouèz.
Bernard, de la paroisse de Plouarzel, anobli en 1425.
==[[Page:Potier de Courcy - Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 3.djvu/96]]==
 
Run (le), s{{e|r}} de Kerérault, — de Keralgan, par. de Ploumilliau.
Ligne 2 998 ⟶ 3 102 :
Martin, conseiller aux Grands-Jours de Bretagne en 1495 ; Guillaume, évêque de SaintMalo en 1570, transféré à Angers en 1572.
 
Cette
Cette famille s’est fondue dans les Coëffier, marquis d’Efflat et de Cinqmars, qui ont retenu les nom et armes de Ruzé.
==[[Page:Potier de Courcy - Nobiliaire et armorial de Bretagne, 1890, tome 3.djvu/97]]==
famille s’est fondue dans les Coëffier, marquis d’Efflat et de Cinqmars, qui ont retenu les nom et armes de Ruzé.
 
Rye (de La) (orig. du Poitou), s{{e|r}} de la Gôle-de-Mézières.