« Les journaux chez les Romains par M. Joseph-Victor Leclerc » : différence entre les versions
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{{journal|Les journaux chez les Romains par M. Joseph-Victor Leclerc <ref> Firmin Didot, rue Jacob, 56.</ref>|[[Auteur:Charles Augustin Sainte-Beuve|Sainte-Beuve]]|[[Revue des Deux Mondes]] T.20, 1839}}
Il y a pourtant en érudition, comme partout ailleurs,
En érudition,
Dégager de notre Académie des Inscriptions les savans par essence des savans par art et même sans art, serait chose plus amusante
Depuis quelque temps, un membre tout novice de
Il y aurait bien plus de profit à découvrir, à dénoncer au public les gens ''à idées'' dans
M. Fauriel aussi a de
Le livre de M. Leclerc, né au sein, de
La première partie de son livre, le premier mémoire, qui traite des ''Annales des Pontifes ou grandes Annales'', a véritablement pour objet de rendre aux premiers siècles de Rome et à son histoire au temps des rois et des premiers consuls une authenticité que les travaux de Niebuhr et de cette école audacieuse avaient pu ébranler dans beaucoup
Tite-Live, le parrain le plus brillant de cette histoire demi-fabuleuse de Rome au berceau, a été aussi le principal auteur du doute,
On commence
En France,
Les idées, sinon les individus, gagnent à ces évolutions. Pour me tenir à
Un Allemand de beaucoup de savoir et
Ces écoles audacieuses sont
M. Leclerc nous pardonnera
Il est impossible, ce nous semble,
M. Leclerc a exprimé une vue historique très séduisante et très ingénieuse ;
Ceci est vrai en partie, en partie exagéré. Je soupçonne
La seconde partie du livre de M. Leclerc, et de beaucoup la plus agréable, traite des journaux chez les Romains. Le sagace dissertateur essaie de les rattacher directement aux Annales des pontifes, et de montrer que, vers le temps même où
Et sous les empereurs, après Néron et dans les interrègnes,
En attendant, une histoire des journaux est à faire ; les doctes travaux de M. Leclerc en rendent facile la préface pour ce qui concerne
Encouragé dans cette voie de recherches par le prompt succès de son livre, M. Leclerc, nous assure-t-on,
La grande division qui séparerait naturellement cette histoire des journaux français en deux tomberait à 89 : histoire des journaux avant la révolution, et depuis. Cette dernière partie, pour être plus rapprochée et pour
En somme pourtant, cette histoire des journaux français avant 89 ne serait pas infinie. Les Beuchot, les Brunet, les Quérard, doivent en posséder par devers eux la plupart des élémens positifs. Je sais dans la bibliothèque de Besançon une chambre pas très grande et qui
Mais
Et
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