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du glacier ; alors, si la neige grenue n’a pas |
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été amollie par la chaleur du soleil, il est facile |
été amollie par la chaleur du soleil, il est facile |
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de cheminer par-dessus la gueule de ces abîmes cachés ; le voyageur peut les ignorer |
de cheminer par-dessus la gueule de ces |
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abîmes cachés ; le voyageur peut les ignorer |
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comme il ignore les grottes ouvertes dans l’épaisseur des montagnes. Mais le retour annuel |
comme il ignore les grottes ouvertes dans l’épaisseur |
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des montagnes. Mais le retour annuel |
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de la saison d’été fond peu à peu les neiges |
de la saison d’été fond peu à peu les neiges |
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superficielles. Le glacier, qui marche sans |
superficielles. Le glacier, qui marche sans |
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cesse et dont la masse fendillée vibre d’un continuel frisson, secoue le manteau neigeux qui |
cesse et dont la masse fendillée vibre d’un continuel |
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frisson, secoue le manteau neigeux qui |
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le recouvre ; çà et là les voûtes s’effondrent |
le recouvre ; çà et là les voûtes s’effondrent |
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et par gros fragments s’abîment dans les profondeurs des crevasses ; souvent il n’en reste |
et par gros fragments s’abîment dans les profondeurs |
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des crevasses ; souvent il n’en reste |
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que des ponts étroits sur lesquels on ne s’aventure qu’après avoir éprouvé du pied la solidité de la neige. |
que des ponts étroits sur lesquels on ne s’aventure |
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qu’après avoir éprouvé du pied la solidité |
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de la neige. |
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C’est alors que maint glacier devient dangereux à traverser, à cause de la largeur de |
C’est alors que maint glacier devient dangereux |
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à traverser, à cause de la largeur de |
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ses fentes qui se ramifient à l’infini. Des bords |
ses fentes qui se ramifient à l’infini. Des bords |
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du gouffre, on voit parfois, dans l’intérieur, |
du gouffre, on voit parfois, dans l’intérieur, |
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