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m’auroit étranglé, s'il l'avoit pu. Rien n’est assurément
«m’auroit étranglé, s'il l'avoit pu. Rien n’est assurément
plus extraordinaire que l’état jeune et florissant dans
plus extraordinaire que l’état jeune et florissant dans
lequel je me trouve : vous perdez bien de n’être point ici
lequel je me trouve : vous perdez bien de n’être point ici
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M. et Mme de Pracontal partent dimanche pour
M. et Mme de Pracontal partent dimanche pour



8. Cette séparation ne dura sans doute pas ; car au 15 mai nous
« nièce »

<ref>8. Cette séparation ne dura sans doute pas ; car au 15 mai nous
lisons dans le ''Journal'' de Dangeau : « M. de Lauzun, qui depuis six
lisons dans le ''Journal'' de Dangeau : « M. de Lauzun, qui depuis six
mois est fort brouillé avec le maréchal et la maréchale de Lorges, et
mois est fort brouillé avec le maréchal et la maréchale de Lorges, et
qui pourtant logeoit et mangeoit chez eux, quitta leur maison et en
qui pourtant logeoit et mangeoit chez eux, quitta leur maison et en
fit sortir sa femme, qui obéit aux ordres de son mari avec bien de la
fit sortir sa femme, qui obéit aux ordres de son mari avec bien de la
douleur, car elle aime fort son père et sa mère, etc. »
douleur, car elle aime fort son père et sa mère, etc. » </ref>
9. La veuve du décapité (voyez la ''Notice'', {{pg}}12), la grand'mère
9. La veuve du décapité (voyez la ''Notice'', {{pg}}12), la grand'mère
du nouveau duc de Châtillon (ancien comte de Lux : voyez
du nouveau duc de Châtillon (ancien comte de Lux : voyez
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de leur nièce (''sic : ne faut-il pas lire :'' « cette somme-là pour le
de leur nièce (''sic : ne faut-il pas lire :'' « cette somme-là pour le
mariage de sa nièce » ?), et plus de cent mille écus qui reviendront à
mariage de sa nièce » ?), et plus de cent mille écus qui reviendront à
M. de Chevreuse, grand—père de la petite fille qui vient de mourir. »
M. de Chevreuse, grand-père de « la petite fille qui vient de mourir. »