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pour me voir ; combien danserions-nous ensemble aux |
pour me voir ; combien danserions-nous ensemble aux |
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chansons ! c`est un divertissement à la mode. M. et |
chansons ! c`est un divertissement à la mode. M. et |
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Mme de Marsan sont allés |
Mme de Marsan sont allés à Versailles, rien n’est pareil |
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à leur contentement ; mais n'êtes-vous pas trop heureuse, |
à leur contentement ; mais n'êtes-vous pas trop heureuse, |
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divine Pauline, de n'avoir point épousé M. de Lauzun, |
divine Pauline, de n'avoir point épousé M. de Lauzun, |
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qui sans rime et sans raison a planté là sa femme ? On |
qui sans rime et sans raison a planté là sa femme ? On |
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conte des histoires de lui qui ne finissent point, mais que |
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je |
je n'ai pas le temps de vous écrire. C’est pour le lundi |
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gras le mariage du nouveau duc de Châtillon avec Mlle de |
gras le mariage du nouveau duc de Châtillon avec Mlle de |
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Royan. La bonne femme Mme de |
Royan. La bonne femme Mme de Boutteville9 lui a envoyé |
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pour |
pour quatre-vingt mille francs de pierreries. Il n'y a pas |
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de mariage encore plus heureux que celui de M. de |
de mariage encore plus heureux que celui de M. de |
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Luxembourg, qui a perdu sa petite |
Luxembourg, qui a perdu sa petite fille10 du premier |
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lit, au grand contentement de tous ceux qui en ont herité. |
lit, au grand contentement de tous ceux qui en ont herité. |
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M. et Mme de Pracontal partent dimanche pour |
M. et Mme de Pracontal partent dimanche pour |
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8. Cette séparation ne dura sans doute pas ; car au 15 mai nous |
8. Cette séparation ne dura sans doute pas ; car au 15 mai nous |
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lisons dans le |
lisons dans le ''Journal'' de Dangeau : « M. de Lauzun, qui depuis six |
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mois est fort brouillé avec le maréchal et la maréchale de Lorges, et |
mois est fort brouillé avec le maréchal et la maréchale de Lorges, et |
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qui pourtant logeoit et mangeoit chez eux, quitta leur maison et en |
qui pourtant logeoit et mangeoit chez eux, quitta leur maison et en |
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fit sortir sa femme, qui obéit aux ordres de son mari avec bien de la |
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douleur, car elle aime fort |
douleur, car elle aime fort son père et sa mère, etc. » |
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9. La veuve du décapité (voyez la ''Notice'', {{pg}}12), la grand'mère |
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du nouveau duc de Châtillon (ancien comte de Lux : voyez |
du nouveau duc de Châtillon (ancien comte de Lux : voyez |
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tome {{rom-maj|VIII|}}, |
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{{pg}}222, note 4 ; ci—après,{{pg}}444, note 26 ; et ci—dessus, {{pg}}234, note 1, |
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fin}. Elle mourut au mois d’août suivant (Dangeau, au 6 août 1696). |
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10. Marie-Henriette. On lit au 11 février dans le ''Journal'' de Dangeau : |
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« |
« Mlle de Luxembourg mourut ici (''à Versailles'') ; elle étoit |
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fille unique ; sa mère avoit eu en mariage quatre cent cinquante mille |
fille unique ; sa mère avoit eu en mariage quatre cent cinquante mille |
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livres, dont il reviendra vingt mille écus à M. de Luxembourg, son |
livres, dont il reviendra vingt mille écus à M. de Luxembourg, son |
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père, cinquante mille livres aux enfants de feu M. de Seignelai, dix |
père, cinquante mille livres aux enfants de feu M. de Seignelai, dix |
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mille écus à Monsieur |
mille écus à Monsieur l'archevêque de Rouen (second fils de Colbert |
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et oncle de la petite fille), qui avoit donné ces sommes- |
et oncle de la petite fille), qui avoit donné ces sommes-là pour le mariage |
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de leur nièce (sic : ne faut- |
de leur nièce (''sic : ne faut-il pas lire :'' « cette somme-là pour le |
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mariage de sa nièce |
mariage de sa nièce » ?), et plus de cent mille écus qui reviendront à |
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M. de Chevreuse, grand—père de |
M. de Chevreuse, grand—père de la petite fille qui vient de mourir. » |