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me apprécie Erin Een pie de ur etre, ske Fun

ne fables






sont de raquie QUe partant de autel Page de rot, va


Fa dard cale und route hgonale lereue es émet. (Ve pe 24) Ürroisementeltre que chaque que où cures le Ênre averses deux bare dure imiter 2e jorapont,





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du brutal Kizo pour expier des rorfaits épouvantables commis dans une existence antérieure? Done, tout est bien, tout suit l'impulsion forcée donnée par l'inga, chaque faute est punie, chaque vertu récompensée; et cequi semble de l'injustice n'est que l'effet d'une équité implacable. Voilà le dogme sur lequel Bakin a créé son roman. Or ce dogme, il n'y croyait pas, car il était confucéen; c'est donc un roman bouddhique fai par un libre penseur : oui, mais c'est aussi un roman philosophique écrit par un philosophe; et cela, il faut l'expliquer si l'on veut trouver idents ingénieux d'un


dans ce livre autre chose que les feuilleton.

Un des plus anciens livres chinois, le Y-king, écrit il y. a trois mille ans, sous le règne de Wen-wang, admet que l'homme est entièrement responsable de ses actes et des conséquences de sesactes. « Quand une famille fait le bien, elle devient prospère », et cela par la force des choses, sans. aucune intervention de la Divinité.

Cinq siècles plus tard, Lao-tzeu d'abord, Confucius en-

suite, admirent les mêmes principes de la responsabilité


humaine, pensant que chaque indi


en se perfect

nant lui-même contribuait au bonheur général

la mème époque, maïs à treize cents lieues de distance,

aux Indes, l'ascète de la famille des Sakia devenait Bouddha


au moment même où il arrivait à la « connaissance de la


cause et de l'effet » (in-ên ), c'est-à-dire de la loi des consé- quences que produit tout acte bon ou tout acte mauvais,

toujours indépendamment de toute direction divine.


Ce sont ces principes athées, mais moraux, que profes-


sait Bakin; ct, pour les démontrer dans un roman, il n'a

pas craint de les agrémenter du fétichisme chinois et de Ja


sorcellerie bouddhique; le surnaturel vient aider à la di monstration de la loi naturelle.

Nous n'avons pas à juger ces théories, mais à faire re-


marquer que dans cet ouvrage la plupart des idées rel gieuses et philosophiques du Japon se trouvent représen- tées; et,:


l'on considère que, grâceaux descriptions dutexte et à l'analyse des illustrations, on assiste à une infinité de traits de mœurs, on peut dire que le lecteur, après avoir parcouru Okoma, aura vu et bien vu tout un coin de l'ar-

chipel japonais.



Hleurieus, 28 juil 1