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humbles services, et de vous dire qu’elle espère que bientôt vous aurez une pareille occupation. |
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* 1397. -- DE MADAME` DÉ SÉVIGNÉ A LA COMTESSE |
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DE GUITAUT<ref>LETTRE 1397.(fragment inédit revu sur l'autographe). 1. -- Il est |
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sans doute question dans cette fin de lettre (la dernière très-probablement |
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que Mme de Sévigné ait adressée à la comtesse de Guitaut |
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) du terme échu à la Saint-Jean de 1695 ; car Mme de Sévigné qui |
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réclame ici dix-sept cents livres, n’en réclamait qu’environ |
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quatorze cents en 1694 (voyez la lettre du 20 juillet, ci-dessus, |
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fragment nous semble pouvoir être placé à la suite de la lettre |
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précédente et de celle du 20 juillet 1694, qui l'expliquent en partie.</ref>1 |
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.....le terme passé, que je ne passerai<ref>2. « Que je ne passerai en compte : » il s’agit, comme dans la |
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{{t3mp|*1397. — DE MADAME DE SÉVIGNÉ À LA COMTESSE DE GUITAUT<ref>{{sc|Lettre}} 1397.(fragment inédit revu sur l’autographe). — 1. Il est sans doute question dans cette fin de lettre (la dernière très-probablement que {{Mme}} de Sévigné ait adressée à la comtesse de Guitaut) du terme échu à la Saint-Jean de 1695 ; car {{Mme}} de Sévigné qui réclame ici dix-sept cents livres, n’en réclamait qu’environ quatorze cents en 1694 (voyez la lettre du 20 juillet, ci-dessus, {{pg}}170), et elle mourut avant la Saint-Jean de 1696. Mais ce très-court fragment nous semble pouvoir être placé à la suite de la lettre précédente et de celle du 20 juillet 1694, qui l’expliquent en partie.</ref>|2.5|fs=85%}} |
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lettre précédente, de quelque mémoire de réparations ou autres dépenses |
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à défalquer du prix de fermage.</ref> que sur ce |
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que vous me direz : je ne veux rien du tout. Sur celui |
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de cette Saint-Jean dernière<ref>3. On ne peut mettre qu’un peu au hasard la ponctuation d'une |
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phrase dont on n’a pas le commencement ; peut—être faut-il ici : « Je |
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ne veux rien du tout sur celui de cette Saint-Jean dernière. Vous me |
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fait toucher mille francs à Lyon : on n'a pas pu ; mais |
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on me promettoit 14oo (?) à Paris le 20è du mois passé, |
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Boucard : ces manières lentes et languissantes me déplaisent |
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fort. Il restera encore trois cents francs de ce |
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terme que je veux avoir incessamment. Au nom de Dieu, |
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ma chère Madame, ''commandez'' un peu en ''souveraine'' à |
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ces gens si éloignés de la vigilance chrétienne, et croyez |
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qu`on ne peut être à vous ni sous vos lois avec plus de |
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sincérité que j’y suis. |
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…le terme passé, que je ne passerai<ref>2. « Que je ne passerai en compte : » il s’agit, comme dans la lettre précédente, de quelque mémoire de réparations ou autres dépenses à défalquer du prix de fermage.</ref> que sur ce que vous me direz : je ne veux rien du tout. Sur celui de cette Saint-Jean dernière<ref>3. On ne peut mettre qu’un peu au hasard la ponctuation d’une phrase dont on n’a pas le commencement ; peut—être faut-il ici : « Je ne veux rien du tout sur celui de cette Saint-Jean dernière. Vous me dites, etc. »</ref>, vous me dites qu’on m’a fait toucher ''mille francs'' à Lyon : ''on n’a pas pu'' ; mais on me promettoit 1400<sup>tt</sup> à Paris le 20{{e}} du mois passé, dont je n’ai point encore entendu parler ; j’en écris à Boucard : ces manières lentes et languissantes me déplaisent fort. Il restera encore trois cents francs de ce terme que je veux avoir incessamment. Au nom de Dieu, ma chère Madame, ''commandez'' un peu en ''souveraine'' à ces gens si éloignés de la vigilance chrétienne, et croyez qu’on ne peut être à vous ni sous vos lois avec plus de sincérité que j’y suis.<section end="1397"/> |
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