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Philippe Lanthony distingue deux sources d’humour dans ''Le Beau Danube jaune''<ref>voir O. Dumas, “Un roman ironique inédit, ''Le Beau Danube jaune''{{Corr||”}}, BSJV {{n°}}84 , pp. 4-5</ref> : “l’apothéose de la pêche à la ligne” et le naïf personnage d’Ilia Krusch, “qui ne comprend rien à rien” du début à la fin, mais incarne, en digne “lauréat de la Ligne Danubienne”, toute la sagesse philosophique du vrai pêcheur à la ligne. Cet homme simple et bon suscite la sympathie. Pour Ph. Lanthony, “ce Hongrois échappé de Quiquendone est une des plus comiques personnalités qu’ait inventée la plume ironique de Jules Verne”.
Philippe Lanthony distingue deux sources d’humour dans ''Le Beau Danube jaune''<ref>voir O. Dumas, “Un roman ironique inédit, ''Le Beau Danube jaune''{{Corr||”}}, BSJV {{n°}}84, pp. 4-5</ref> : “l’apothéose de la pêche à la ligne” et le naïf personnage d’Ilia Krusch, “qui ne comprend rien à rien” du début à la fin, mais incarne, en digne “lauréat de la Ligne Danubienne”, toute la sagesse philosophique du vrai pêcheur à la ligne. Cet homme simple et bon suscite la sympathie. Pour Ph. Lanthony, “ce Hongrois échappé de Quiquendone est une des plus comiques personnalités qu’ait inventée la plume ironique de Jules Verne”.


L’écrivain peut conclure en souriant ce roman à la gloire de la pêche à la ligne :
L’écrivain peut conclure en souriant ce roman à la gloire de la pêche à la ligne :