« Page:Pierre de Coubertin - Universités transatlantiques, 1890.djvu/156 » : différence entre les versions

Aucun résumé des modifications
Balise : Révoqué
Aucun résumé des modifications
Balise : Révocation manuelle
Contenu (par transclusion) :Contenu (par transclusion) :
Ligne 1 : Ligne 1 :
{{t3|{{rom-maj|VI|6}}}} {{interligne}} {{interligne}}
{{t3|{{rom-maj|VI|6}}}} {{interligne}} {{interligne}}
Je ne voudrais pas toucher à l’enseignement primaire, ce qui m’entraînerait trop loin, mais seulement dire un mot de la ''taxe scolaire''. Les contribuables de la cité de Montréal payent pour l’entretien de leurs écoles une taxe d’un centime par piastre de 5 francs, sur la valeur totale de la propriété foncière. La valeur de la propriété, dans chaque quartier, est établie par deux « cotiseurs », l’un catholique et l’autre protestant. Les propriétés sont réparties en quatre listes distinctes selon qu’elles appartiennent : aux catholiques, aux protestants, conjointement aux uns et aux autres, ou bien à des corporations ou compagnies de commerce ; enfin une quatrième liste comprend les propriétés exemples de taxe. La taxe n{{no|o}} 1 est
Je ne voudrais pas toucher à l’enseignement primaire, ce qui m’entraînerait trop loin, mais seulement dire un mot de la ''taxe scolaire''. Les contribuables de la cité de Montréal payent pour l’entretien de leurs écoles une taxe d’un centime par piastre de 5 francs, sur la valeur totale de la propriété foncière. La valeur de la propriété, dans chaque quartier, est établie par deux « cotiseurs », l’un catholique et l’autre protestant. Les propriétés sont réparties en quatre listes distinctes selon qu’elles appartiennent : aux catholiques, aux protestants, conjointement aux uns et aux autres, ou bien à des corporations ou compagnies de commerce ; enfin une quatrième liste comprend les propriétés exemples de taxe. La taxe {{}} 1 est