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Midi sonna. Payot fut exact. |
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— Oh ! ce n’est pas pressé. |
— Oh ! ce n’est pas pressé. |
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— Montez toujours. — François obéit. — Eh bien ! dis-je à Payot, |
— Montez toujours. — François obéit. — Eh bien ! dis-je à Payot, où est votre homme ? |
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où est votre homme ? |
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— Et mais, c’est lui. |
— Et mais, c’est lui. |
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— Né natif. |
— Né natif. |
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— Attendons-le alors. — Cinq minutes après il redescendit. J’allai |
— Attendons-le alors. — Cinq minutes après il redescendit. J’allai à lui. — {{M.|François}}, lui dis-je, j’espère que vous ne refuserez pas de dîner avec moi et Payot, quand je vous inviterai moi-même. |
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à lui. — M. François, lui dis-je, j’espère que vous ne refuserez |
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pas de dîner avec moi et Payot, quand je vous inviterai moi-même. |
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— Comment, monsieur, vous voulez ? |
— Comment, monsieur, vous voulez ? |
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— Oh ! monsieur sait bien que je n’ai rien à lui refuser. |
— Oh ! monsieur sait bien que je n’ai rien à lui refuser. |
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— Alors partons, mon cher Payot ; je n’ai pas une voiture |
— Alors partons, mon cher Payot ; je n’ai pas une voiture comme milord, mais nous allons trouver un fiacre à la porte ; je n’ai pas de bordeaux chez moi, mais je sais où on en trouve, et de très bon, soyez tranquille ; quant au thé… |
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comme milord, mais nous allons trouver un fiacre à la porte ; je n’ai pas de bordeaux chez moi, mais je sais où on en trouve, et |
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de très bon, soyez tranquille ; quant au thé… |
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— Merci, si ça vous est égal, j’aime mieux autre chose. |
— Merci, si ça vous est égal, j’aime mieux autre chose. |
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— Eh bien ! nous le remplacerons par le café. |
— Eh bien ! nous le remplacerons par le café. |
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— À la bonne heure, voila une boisson de chrétien ; mais l’autre, |
— À la bonne heure, voila une boisson de chrétien ; mais l’autre, je ne m’en dédis pas, c’est une drogue. |
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je ne m’en dédis pas, c’est une drogue. |
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Je tins parole à Payot : je lui fis boire le meilleur vin de |
Je tins parole à Payot : je lui fis boire le meilleur vin de Borel, et prendre le meilleur café de Lamblin ; puis, quand je le vis dans cette heureuse et douce disposition d’esprit qui suit un bon déjeuner, je lui proposai de le reconduire en un quart d’heure à Chamouny. |
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Borel, et prendre le meilleur café de Lamblin ; puis, quand je le |
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vis dans cette heureuse et douce disposition d’esprit qui suit un |
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bon déjeuner, je lui proposai de le reconduire en un quart d’heure |
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à Chamouny. |
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— Monsieur plaisante. |
— Monsieur plaisante. |