« Page:Féval - Cœur d’acier,1865.djvu/308 » : différence entre les versions

Phe-bot (discussion | contributions)
Acélan: split
 
 
État de la page (Qualité des pages)État de la page (Qualité des pages)
-
Page non corrigée
+
Page corrigée
Contenu (par transclusion) :Contenu (par transclusion) :
Ligne 1 : Ligne 1 :
charretée de lierre… Des chevaliers… des chevaliers… des chevaliers d’Avenel ! La Dame blanche a eu cinq cents représentations. C’est toujours amusant ces machines-là. Et la chambre tendue de lampas bleu où était le berceau…
charretée de lierre… Des chevaliers… des chevaliers… des chevaliers d’Avenel ! ''La Dame blanche'' a eu cinq cents représentations. C’est toujours amusant ces machines-là. Et la chambre tendue de lampas bleu où était le berceau…


— Rouge brun, murmura Roland, je la vois encore !
— Rouge brun, murmura Roland, je la vois encore !


— Ah ! s’écria Comayrol, dont l’estomac dodu allait et venait aux balancements de son rire, rouge brun, avec des fleurs noires, pas vrai ?
— Ah ! s’écria Comayrol, dont l’estomac dodu allait et venait aux balancements de son rire, rouge-brun, avec des fleurs noires, pas vrai ?


— Le fond brun, les fleurs rouges, rectifia le jeune peintre.
— Le fond brun, les fleurs rouges, rectifia le jeune peintre.
Ligne 11 : Ligne 11 :
— Un grand bois de cerf, répondit Roland, entouré de six têtes de biches.
— Un grand bois de cerf, répondit Roland, entouré de six têtes de biches.


— Six, mon fils, c’est cela ! hein ! Jaffret, quel amour ! Six ! pas une de plus ni de moins… et l’écusson de Clare au-dessus !
— Six, mon fils, c’est cela ! hein ! Jaffret, quel amour ! Six ! pas une de plus ni de moins… et l’écusson de Clare au-dessus !


— C’est vrai ! fit Roland impétueusement. L’écusson de Clare ! Comment l’ai-je oublié ?
— C’est vrai ! fit Roland impétueusement. L’écusson de Clare ! Comment l’ai-je oublié ?
Ligne 25 : Ligne 25 :
— Je ne sais pas quelle comédie vous prétendez jouer, Messieurs, répliqua Roland plus froid que jamais ; moi, je vais droit mon chemin et je dis comme je pense.
— Je ne sais pas quelle comédie vous prétendez jouer, Messieurs, répliqua Roland plus froid que jamais ; moi, je vais droit mon chemin et je dis comme je pense.


— Diable ! diable ! répéta Comayrol. C’est de la haute voltige, cela, Monsieur le
— Diable ! diable ! répéta Comayrol. C’est de la haute voltige, cela, Monsieur