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⚫ | Quand les deux « Messieurs » furent introduits dans l’atelier de {{M.|Cœur}}, il n’y avait plus personne, sinon Roland lui-même. Le comte et les deux jeunes filles avaient pris congé précipitamment. Rose seule avait parlé au moment du départ pour remercier et s’excuser, le tout en quelques mots. Nita semblait pensive ; son regard et celui de Roland ne se rencontrèrent point. |
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⚫ | Quand les deux « Messieurs » furent introduits dans l’atelier de M. |
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En regagnant la calèche qui attendait toujours, rue des Mathurins-Saint-Jacques, Nita dit à son tuteur : |
En regagnant la calèche qui attendait toujours, rue des Mathurins-Saint-Jacques, Nita dit à son tuteur : |
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— Bon ami, cette propriété ne me convient pas. Vous me ferez plaisir si vous rompez l’affaire. |
— Bon ami, cette propriété ne me convient pas. Vous me ferez plaisir si vous rompez l’affaire. |
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Les deux Messieurs avaient assurément l’air de personnes très respectables. Ils étaient de noir habillés tous les deux, depuis la tête jusqu’aux pieds. Tous deux portaient des cravates blanches, savoir : le gros une ample nappe de mousseline roulée à la Danton ; le maigre un mince |
Les deux Messieurs avaient assurément l’air de personnes très respectables. Ils étaient de noir habillés tous les deux, depuis la tête jusqu’aux pieds. Tous deux portaient des cravates blanches, savoir : le gros une ample nappe de mousseline, roulée à la Danton ; le maigre un mince |