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bien pâle encore, mais elle paraissait plus calme. |
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— Ce sont bien eux ! murmura le comte, dont la tête s’inclina sur la poitrine. |
— Ce sont bien eux ! murmura le comte, dont la tête s’inclina sur la poitrine. |
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— À propos, fit brusquement le jeune peintre, connaissez-vous un certain vicomte Annibal Gioja ? |
— À propos, fit brusquement le jeune peintre, connaissez-vous un certain vicomte Annibal Gioja ? |
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M. |
{{M.|du}} Bréhut tressaillit. |
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— Vous aurait-elle dépêché celui-là ? balbutia-t-il. |
— Vous aurait-elle dépêché celui-là ? balbutia-t-il. |
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— Pour aujourd’hui même, à deux heures. |
— Pour aujourd’hui même, à deux heures. |
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M. |
{{M.|du}} Bréhut consulta vivement sa montre, mais il n’était pas besoin : la pendule du salon tinta deux coups. |
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— Il faut nous séparer, dit le comte. Ce soir même, aussitôt après l’entrevue qui va avoir lieu, vous devrez quitter cette maison et me faire savoir votre nouvelle adresse. N’acceptez rien, ne refusez rien, surtout. Ils auront des promesses splendides pour vous séduire, des menaces pour vous effrayer… |
— Il faut nous séparer, dit le comte. Ce soir même, aussitôt après l’entrevue qui va avoir lieu, vous devrez quitter cette maison et me faire savoir votre nouvelle adresse. N’acceptez rien, ne refusez rien, surtout. Ils auront des promesses splendides pour vous séduire, des menaces pour vous effrayer… |
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Il s’arrêta ; Roland souriait. La princesse et Mlle |
Il s’arrêta ; Roland souriait. La princesse et {{Mlle|de}} Malevoy traversaient l’atelier pour gagner la porte-fenêtre donnant sur le jardin. |
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Comme Roland s’inclinait devant elles, la porte de son appartement s’ouvrit et son domestique parut, disant : |
Comme Roland s’inclinait devant elles, la porte de son appartement s’ouvrit et son domestique parut, disant : |
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