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aussi aisé aux maris des belles dames d’être gras, qu’à leurs amis ; il faudroit à M. |
aussi aisé aux maris des belles dames d’être gras, qu’à leurs amis ; il faudroit à M.{{lié}}de Grignan un remède qu’il trouveroit assurément pire que le mal. Vous seriez trop heureuse et lui aussi, Madame, si vous aimant autant qu’il vous aime, il pouvoit avoir toujours deux mentons auprès de vous ; |
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Mais on ne rencontre guère |
{{poem|texte=Mais on ne rencontre guère|taille=90|lh=150}} |
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Nous<ref>13. Cet alinéa ne se lit, comme le passage signalé plus haut (note 4), que dans le manuscrit de la Bibliothèque impériale.</ref> vous rendons mille grâces, ma fille et moi, Madame, de la part que vous prenez au soulagement que Dieu nous a donné, en nous tirant cette épine hors du pied. Cela pouvoit tirer à conséquence. |
Nous<ref>13. Cet alinéa ne se lit, comme le passage signalé plus haut (note 4), que dans le manuscrit de la Bibliothèque impériale.</ref> vous rendons mille grâces, ma fille et moi, Madame, de la part que vous prenez au soulagement que Dieu nous a donné, en nous tirant cette épine hors du pied. Cela pouvoit tirer à conséquence. |
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A MADAME DE SÉVIGNÉ. |
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{{c|{{sc|'''à madame de sévigné'''.}}}} |
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A Paris, le 24° novembre 1685. |
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DE MADAME DE SÉVIGNÉ. |
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{{droite| À Paris, mercredi 24{{e}} novembre 1685. |2.5|fs=85%}} |
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{{c|{{sc|'''de madame de sévigné'''.}}}} |
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⚫ | {{sc|Je}} n’ai reçu aucune de vos lettres depuis plus de quinze mois ; je ne sais si notre enragé de jaloux<ref>{{sc|Lettre}} 982. — 1. Corbinelli. Voyez ci-dessus, {{pg}}263 et 264, lettre du {{1er}} juin 1684.</ref> les auroit surprises ; ce n’est pourtant pas son style, il auroit plus d’inclination à vous assassiner avec cette petite épée dont<section end="982"/> |
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