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— Dis donc, Bertol, t’es ben professseur, |
— Dis donc, Bertol, t’es ben professseur, |
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de métier ? |
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— Pour te servir, mon bon Duroseau. |
— Pour te servir, mon bon Duroseau. |
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— Si, mais voilà l’affaire… |
— Si, mais voilà l’affaire… |
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— Quelle affaire ? |
— Quelle affaire ? |
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— Voilà, Bertol, voilà… Ce matin, |
— Voilà, Bertol, voilà… Ce matin, |
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tu sais que ce |
tu sais que ce matin on nous a donné |
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un paquet de journaux… |
un paquet de journaux… |
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des nouvelles de la guerre… et puis encore |
des nouvelles de la guerre… et puis encore |
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des nouvelles. Et puis, voilà-t-il |
des nouvelles. Et puis, voilà-t-il |
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pas que je tombe sur une |
pas que je tombe sur une lettre… Ah ! |
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non, ça m’a donné un coup… Ils appellent |
non, ça m’a donné un coup… Ils appellent |
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ça des lettres de soldats… et la signature |
ça des lettres de soldats… et la signature |