« Page:Maison rustique du XIXe siècle, éd. Bixio, 1844, I.djvu/226 » : différence entre les versions

Lüett (discussion | contributions)
Lüett (discussion | contributions)
→‎Corrigée : Correction complète de la page
État de la page (Qualité des pages)État de la page (Qualité des pages)
-
Page non corrigée
+
Page corrigée
Contenu (par transclusion) :Contenu (par transclusion) :
Ligne 5 : Ligne 5 :
{{p|7:1:3|}}{{T5|{{sc|art}}. {{rom-maj|iii}}. — Des procédés de sémination.}}
{{p|7:1:3|}}{{T5|{{sc|art}}. {{rom-maj|iii}}. — Des procédés de sémination.}}


Jusqu’à présent on ne connaît que trois moyens pour distribuer la semence sur le sol : à la volée, au semoir, au plantoir. Le dernier procédé est abandonné presque presque pour les céréales, et restreint pour les autres plantes à un très-petit nombre de circonstances qui ne se rencontrent que dans la petite culture et dans les exploitations maraîchères. Le second, peu usité pour la semaille des plantes culmifères, commence à être utilisé pour les végétaux qu’on sème en lignes. Enfin, le premier procédé est le seul connu dans les contrées où l’art agricole est demeuré stationnaire : il est aussi celui qui jusqu’à présent offre le plus d’avantages pour la sémination des céréales. — Nous renvoyons à la section suivante, qui est celle des plantations, ce que nous avons à dire des plantes qui se multiplient par le moyeu de tubercules, de drageons, comme la pomme-de-terre, la garance, le houblon, etc. Nous ne nous étendrons pas sur la dernière méthode, pour donner plus de développement à la description des deux autres.
Jusqu’à présent on ne connaît que trois moyens pour distribuer la semence sur le sol : à la volée, au semoir, au plantoir. Le dernier procédé est abandonné presque partout pour les céréales, et restreint pour les autres plantes à un très-petit nombre de circonstances qui ne se rencontrent que dans la petite culture et dans les exploitations maraîchères. Le second, peu usité pour la semaille des plantes culmifères, commence à être utilisé pour les végétaux qu’on sème en lignes. Enfin, le premier procédé est le seul connu dans les contrées où l’art agricole est demeuré stationnaire : il est aussi celui qui jusqu’à présent offre le plus d’avantages pour la sémination des céréales. — Nous renvoyons à la section suivante, qui est celle des plantations, ce que nous avons à dire des plantes qui se multiplient par le moyen de tubercules, de drageons, comme la pomme-de-terre, la garance, le houblon, etc. Nous ne nous étendrons pas sur la dernière méthode, pour donner plus de développement à la description des deux autres.


{{p|7:1:3:1|}}{{T6|§ {{rom-maj|i}}{{e|er}}. — Des semoirs. (''Drills'' des Anglais.)}}
{{p|7:1:3:1|}}{{T6|§ {{rom-maj|i}}{{e|er}}. — Des semoirs. (''Drills'' des Anglais.)}}