« Page:Maison rustique du XIXe siècle, éd. Bixio, 1844, I.djvu/184 » : différence entre les versions
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{{FAD|'''[[Auteur:Oscar Leclerc-Thoüin|{{abréviation|O.|Oscar}} {{sc|Leclerc-Thouin}}]]'''.}} |
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<section begin="sections"/>{{ancre|6:2|}}'''{{T4|{{sc|Section}} {{rom-maj|iii}}'''. — ''Des charrues considérées comme instrumens de labour et de préparation des terres''. |m=1.5em}} |
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Les charrues les plus simples se composent de diverses parties que nous devons étudier d’abord séparément, afin de connaître leur usage et, autant que possible, les conditions les plus nécessaires à leur bonne construction. Ce sont : ''le soc'', ''le coutre'', ''le sep'', ''le versoir'', ''l’age'' ou ''la haye'', ''le régulateur'' et ''le manche''. |
Les charrues les plus simples se composent de diverses parties que nous devons étudier d’abord séparément, afin de connaître leur usage et, autant que possible, les conditions les plus nécessaires à leur bonne construction. Ce sont : ''le soc'', ''le coutre'', ''le sep'', ''le versoir'', ''l’age'' ou ''la haye'', ''le régulateur'' et ''le manche''. |
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Cette première partie de notre travail accomplie, après une courte mais indispensable excursion dans le domaine de la dynamique, afin de mettre le lecteur à même de juger de la résistance que présentent les diverses sortes de charrues à l’effort des animaux qui les traînent, et d’apprécier les moyens de diminuer la force de traction, nous traiterons successivement des araires proprement dites ; — des araires à support sous l’age ; — enfin des charrues à avant-train qui nous présenteront plusieurs subdivisions, eu égard à la fixité ou à la mobilité de leur versoir, au nombre de leurs socs, etc., etc. |
Cette première partie de notre travail accomplie, après une courte mais indispensable excursion dans le domaine de la dynamique, afin de mettre le lecteur à même de juger de la résistance que présentent les diverses sortes de charrues à l’effort des animaux qui les traînent, et d’apprécier les moyens de diminuer la force de traction, nous traiterons successivement des araires proprement dites ; — des araires à support sous l’age ; — enfin des charrues à avant-train qui nous présenteront plusieurs subdivisions, eu égard à la fixité ou à la mobilité de leur versoir, au nombre de leurs socs, etc., etc. |
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{{p|6:2:1|}}{{T5|'''{{sc|Art}}. {{rom-maj|i}}{{e|er}}'''. — ''Des diverses parties essentielles des charrues''.}} |
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{{p|6:2:1:1|}}{{T6||§ {{rom-maj|vi}}. — Le soc.}} |
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Le soc est la partie de la charrue qui détache la bande de terre, concurremment avec le contre, et la soulève en avant du versoir. Sans remonter jusqu’à l’antiquité, si nous devions seulement tracer ici un tableau historique de toutes les charrues encore existantes dans les diverses parties du monde, nous verrions que l’aspect et les dimensions des socs varient à l’infini. Toutefois, à ne considérer que ceux dont l’usage est le plus général, on peut les ranger en deux divisions : |
Le soc est la partie de la charrue qui détache la bande de terre, concurremment avec le contre, et la soulève en avant du versoir. Sans remonter jusqu’à l’antiquité, si nous devions seulement tracer ici un tableau historique de toutes les charrues encore existantes dans les diverses parties du monde, nous verrions que l’aspect et les dimensions des socs varient à l’infini. Toutefois, à ne considérer que ceux dont l’usage est le plus général, on peut les ranger en deux divisions : |
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