« Page:Amable Floquet - Anecdotes normandes, deuxieme edition, Cagniard, 1883.djvu/125 » : différence entre les versions

AkBot (discussion | contributions)
Pywikibot touch edit
 
État de la page (Qualité des pages)État de la page (Qualité des pages)
-
Page corrigée
+
Page validée
Contenu (par transclusion) :Contenu (par transclusion) :
Ligne 3 : Ligne 3 :
« Un citoyen de Lucques, nommé Zambelli, était
« Un citoyen de Lucques, nommé Zambelli, était
allé fonder une maison de commerce en Angleterre,
allé fonder une maison de commerce en Angleterre,
où ses affaires avaient prospéré. A cinquante ans, sa
où ses affaires avaient prospéré. À cinquante ans, sa
fortune étant faite, il sentit le besoin de retourner à
fortune étant faite, il sentit le besoin de retourner à
Lucques finir ses jours auprès d’un frère qu’il chérissait.
Lucques finir ses jours auprès d’un frère qu’il chérissait.
Ligne 11 : Ligne 11 :
qu’il serait à Lucques dans deux mois environ. Il lui
qu’il serait à Lucques dans deux mois environ. Il lui
fallait ce temps pour terminer ses affaires à Paris, et
fallait ce temps pour terminer ses affaires à Paris, et
pour faire le voyage. A Lucques, on s’empressa de lui
pour faire le voyage. À Lucques, on s’empressa de lui
retenir une maison ; de jour en jour il était attendu ;
retenir une maison ; de jour en jour il était attendu ;
mais deux mois, quatre mois, six mois s’écoulèrent ;
mais deux mois, quatre mois, six mois s’écoulèrent ;
Ligne 26 : Ligne 26 :
les marchands montraient la signature ''Zambelli'',
les marchands montraient la signature ''Zambelli'',
apposée au bas des quittances. « Toutes ces signatures
apposée au bas des quittances. « Toutes ces signatures
sont, fausses, s’écria Cornélio indigné ; {{tiret|dépeignez|-moi}}
sont fausses, s’écria Cornélio indigné ; {{tiret|dépeignez|-moi}}