« Page:Noailles - Les Vivants et les Morts, 1913.djvu/157 » : différence entre les versions
m →top : Corrections diverses, remplacement: <poem> → <poem class="verse" > |
|||
État de la page (Qualité des pages) | État de la page (Qualité des pages) | ||
- | + | Page corrigée | |
En-tête (noinclude) : | En-tête (noinclude) : | ||
Ligne 1 : | Ligne 1 : | ||
{{nr||{{sc|l’auberge d’agrigente|157}}}} |
|||
Contenu (par transclusion) : | Contenu (par transclusion) : | ||
Ligne 1 : | Ligne 1 : | ||
<poem class="verse" > |
<poem class="verse" > |
||
— Sur le seuil échaudé du misérable hôtel |
— Sur le seuil échaudé du misérable hôtel |
||
Où l’air piquant cuisait des touffes de pivoines, |
Où l’air piquant cuisait des touffes de pivoines, |
||
Ligne 19 : | Ligne 18 : | ||
Aux incessants travaux de leur race indigente, |
Aux incessants travaux de leur race indigente, |
||
Se baisaient doucement. |
Se baisaient doucement. |
||
Dans le moite jardin, |
{{caché|Se baisaient doucement.}} Dans le moite jardin, |
||
Vous méditiez sans fin, ô palme nonchalante ! |
Vous méditiez sans fin, ô palme nonchalante ! |
||
Que j’étais triste alors, que mon cœur étouffait ! |
Que j’étais triste alors, que mon cœur étouffait ! |