« Page:Léo Taxil et Paul Foucher - La religion du crime.djvu/96 » : différence entre les versions

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Bouffetout éteignit les lumières, sortit, ferma soigneusement la porte, et se mit à courir dans la rue, comme si le diable l’emportait.
Bouffetout éteignit les lumières, sortit, ferma soigneusement la porte, et se mit à courir dans la rue, comme si le diable l’emportait.


En passant près de Jeanseul, il le heurta si fort que celui-ci tourna sur’lui-même, ce qui fit grogner la voix sourde et menaçante du chien.
En passant près de Jeanseul, il le heurta si fort que celui-ci tourna sur lui-même, ce qui fit grogner la voix sourde et menaçante du chien.


Obsédé par la pensée de son amour, Jeanseul restait immobile, lie songeant-plus à se mettre en route.
Obsédé par la pensée de son amour, Jeanseul restait immobile, ne songeant plus à se mettre en route.


Il s’y décida cependant, mais avec un soupir, après avoir jeté à travers sa rêverie un regard distrait et vague au cabaret plein de bruit tout à l’heure, que la vie semblait avoir quitté, et dont il ne restait plus que la grappe aux grains mornes et le mur sanglant.
Il s’y décida cependant, mais avec un soupir, après avoir jeté à travers sa rêverie un regard distrait et vague au cabaret plein de bruit tout à l’heure, que la vie semblait avoir quitté, et dont il ne restait plus que la grappe aux grains mornes et le mur sanglant.