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112 LA POÉSIE DE STÉPHANE MALLARMÉ |
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d’une plus complexe structure. Il n’en est pas où l’on |
d’une plus complexe structure. Il n’en est pas où l’on |
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ne retrouve, avec quelque attention, le dessein vrai, |
ne retrouve, avec quelque attention, le dessein vrai, |
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résonance. Pas plus que le reste, ils ne sont d’ailleurs |
résonance. Pas plus que le reste, ils ne sont d’ailleurs |
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garantis contre les commentaires des imbéciles. Selon |
garantis contre les commentaires des imbéciles. Selon |
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un propos qui circulait jadis dans les brasseries |
un propos qui circulait jadis dans les brasseries littéraires et qui reparaît parfois, les sonnets dont le sens |
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raires et qui reparaît parfois, les sonnets dont le sens |
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paraît d’abord hermétique seraient simplement des |
paraît d’abord hermétique seraient simplement des |
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obscénités voilées. On a pu entendre des littérateurs |
obscénités voilées. On a pu entendre des littérateurs |
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transporter à l’interprétation de M’introduire dans ton |
transporter à l’interprétation de ''M’introduire dans ton histoire'' les propos des commis-voyageurs au passer |
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histoire les propos des commis-voyageurs au passer |
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d’une garde normande connue. On a l’affliction de voir |
d’une garde normande connue. On a l’affliction de voir |
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M. Maurras lui-même — Villiers déplorait, quand |
M. Maurras lui-même — Villiers déplorait, quand Barbey d’Aurevilly écrivit sur la ''Révolte'', qu’un lion pût |
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bey d’Aurevilly écrivit sur la Révolte, qu’un lion .pût |
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mort du poète, relater, comme vraisemblable, ce propos |
mort du poète, relater, comme vraisemblable, ce propos |
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de café, que les sonnets |
de café, que les sonnets « fourmillent d’allusions lubriques ». Et un journaliste, qui enterrait les morts dans |
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briques ». Et un journaliste, qui enterrait les morts dans |
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ces poèmes « lubriques » simplement l’''Éventail'' de madame et de mademoiselle Mallarmé<ref>« Pour comprendre le final de ce poème (''Hérodiade'') il faut savoir que Mallarmé ne reculait pas devant le détail ''risqué''. Ses plus belles pièces, d’ailleurs, ne sont malheureusement que l’enveloppe d’une pensée dépravée, quand elle n’est pas banale. L’obscurité de ces poèmes vient souvent de la pureté d’âme de ceux qui cherchent à les pénétrer. Il faut être dépravé pour comprendre le sens caché de poèmes tels que ''M’introduire dans son histoire'' »</ref> ! Ce n’est pas le |
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ces poèmes « lubriques » simplement VÉventail de ma- |
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dame et de mademoiselle Mallarmé ’ 1 Ce n’est pas le |
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côté le moins curieux de leur puissance suggestive que |
côté le moins curieux de leur puissance suggestive que |
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celui où ces poèmes se défendent, comme d’une épine, |
celui où ces poèmes se défendent, comme d’une épine, |
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par l’énormité des sottises qu’ils leur font proférer, |
par l’énormité des sottises qu’ils leur font proférer, |
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contre les lecteurs dont ils n’ont que |
contre les lecteurs dont ils n’ont que faire. |
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« Évoquer, dans une ombre exprès, l’objet tu par des |
« Évoquer, dans une ombre exprès, l’objet tu par des |
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mots allusifs, jamais directs, se réduisant à du silence |
mots allusifs, jamais directs, se réduisant à du silence |
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égal, comporte tentative proche de créer. » |
égal, comporte tentative proche de créer. » |
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i. a Pour comprendre le final de ce poemo (llêrorliade) il faut |
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savoir que Mallarmé ne reculait pas devant le dévùl ristjuê. Ses |
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plus belles pièces, d’ailleurs, ne s’ont malheureusement que l’en- |
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veloppe d’une pensée dépravée, quand elle n’e>t pas b.i.nle. |
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L’obscurité de ces poèmes vient souvent de la pureté d’âme de |
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ceux qui cherchent à les pénétrer. Il faul être dépravé pour com- |
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prendre le sens caché de poèmes tels que M’intrruhi’nr r/,m.« f„n |
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